Des hommes, des guerriers, des anciens internationaux. Si l’histoire du rugby a gardé leurs noms, leurs visages ont gardé des traces.

« On ne fera pas de beaux vieux » aurait dit un jour Walter Spanghero en sortant du terrain le visage tuméfié.

Si ce pressentiment était fondé sur le moment, et si certaines séquelles sont encore bien visibles aujourd’hui, de ces gueules d’anciens combattants se dégage une sereine humanité. »