<p>ETPA, <br />école de photographie<br />depuis 1974</p>
etpa photographie

ETPA,
école de photographie
depuis 1974

ETPA, 3 formations pour devenir un professionnel de la photographie

Depuis 1974

Notre école de photographie
a presque 50 ans...

... et l’expérience, ça compte : nos formations en photographie ciblent précisément la capacité des étudiants à maîtriser leurs environnements techniques et artistiques, pour révéler leur talent. Derrière notre objectif, une formation photo professionnalisante, reconnue par l’État.

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Une école de photographie,
trois parcours de formation professionnelle en photo

Le parti-pris de l’ETPA : la découverte et la consolidation des connaissances théoriques et pratiques nécessaires à l’activité de photographe professionnel, sur la base de matériel haut de gamme. Et autant de compétences qui jalonnent les contenus composés pour nos 3 diplômes de photographie…

Formation de Praticien Photographe
○ 2 ans

L’angle de champ est ici la pratique intensive de la photographie. Analogique ou numérique, en studio de prise de vue… La formation praticien photographe nourrit aussi les connaissances de l’étudiant sur le matériel et l’histoire de la photographie.

BTS Photographie
○ 2 ans

Futurs techniciens photo et artistes photographes de demain : cette formation leur est dédiée. Le BTS photographie de l'ETPA invite à explorer les réalités techniques, artistiques et scientifiques de la discipline.

3e Année de Spécialisation
○ 1 an

La formation professionnelle en photographie peut être complétée à l’ETPA par un approfondissement en photographie sur une année. L’occasion de développer une démarche artistique propre, d'approfondir ses compétences et d’expérimenter les conditions d’exercice de sa future activité professionnelle.

Titre de "Photographe", de niveau 6 (Bac +3/4), enregistré au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). 

Ils témoignent

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Philippe Grollier

Diplômé de l’ETPA en 1999, j’ai toujours entretenu des liens étroits avec l’école et les anciens étudiants tout au long de ma carrière de photographe.La photographie est par nature un mode de transmission.Partager, transmettre, pousser les étudiants dans une démarche personnelle, pour affiner leur regard et leur écriture photographique sont pour moi des éléments essentiels. Je les accompagne dans leur processus de création et de réflexion pour qu’ils puissent aller le plus loin possible dans tous les domaines de la photographie.

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Cloé Harent

Ce que j’ai beaucoup aimé c’est que chaque professeur apportait quelque chose qui nous permettait de comprendre le métier de photographe. Avec Stephane Redon, j’aimais l’exigence dont il faisait preuve. Cela m’a fait comprendre que l’on n’était pas juste là pour faire des études, que c’était un milieu exigeant et qu’il fallait l’être soi-même si l’on souhaitait réussir.

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Stéphane Redon

L’enseignement permet d’être au contact des futurs acteurs de la photographie, de les faire progresser et de vivre en temps réel l’évolution de chaque étudiant. Cela leur permet ainsi d'acquérir les bases techniques nécessaires à l'utilisation optimum de l'outil photographique, en abordant les différents grands thèmes de la photographie.

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Shannon Aouatah

De ma troisième année, je retiens de jolies rencontres. C’était très enrichissant de pouvoir rencontrer des stars de la photographie comme Jane Evelyn Atwood, Jean Christian Bourcart ou même Ludovic Carème. C’était une chance unique d’avoir ces personnes-là, à l’école, rien que pour nous. Je pense que cette année d’approfondissement aide à se développer personnellement. Ça challenge beaucoup.

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Rémi Carayon

J'ai fait mes études de photographie à l'ETPA où j'ai obtenu le Grand Prix en 2008. J'ai ensuite participé à plusieurs résidences artistiques et travaillé en tant que photographe d'architecture et de reportages d'entreprises. Je suis ensuite revenu à l'ETPA pour y enseigner la prise de vue et le laboratoire couleur numérique.

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Franck Galy

Étudiant en BTS Photographie, j’ai pu acquérir le savoir technique de la profession et aussi me familiariser au milieu professionnel grâce à la formation et aux différents stages. [...] Et c'est fort de cette expérience professionnelle que je suis revenu à l'ETPA en tant qu'enseignant, dans la spécialité tirage et postproduction numérique, et ainsi transmettre aux étudiants ce que j'ai pu apprendre afin qu'ils possèdent les outils pour s'exprimer photographiquement.

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Les points forts de l’école de photographie ETPA

Étudier à l’école de photographie ETPA, c’est l’opportunité d’accéder à une formation photo cohérente :

La richesse des réseaux d’acteurs de la photographie

Les professeurs de notre école de photographie ont été et restent des professionnels créatifs et engagés. À leurs côtés, l’étudiant fait le lien entre les apprentissages et la réalité de la discipline.

Des technologies actuelles ou émergentes, accessibles au fil de la formation photo

Salles de tirages, laboratoires argentique et numérique, développeuses couleur grand format, appareils photos et équipements digitaux innovants : les supports d’apprentissage disponibles dans notre école photo sont ancrés dans le présent et tournés vers l’avenir de la profession.

Un taux de réussite de 88% au BTS Photographie (sous contrat d'association avec l'État)

L’implication des équipes enseignantes de notre école de photographie motive les étudiants d’un bout à l’autre de leur formation photo. Cette émulation pédagogique et artistique porte ses fruits : en 2023, 87% de nos étudiants ont obtenu leur BTS photographie.

Galerie de travaux photo

À l’ETPA, la passion est le point de départ et la pugnacité le maître-mot. De leur arrivée et jusqu’à la fin de leur cursus, les étudiants évoluent dans un environnement où la détermination, la rigueur et la nécessité de s’exprimer prévalent sur le reste. Grandir, affirmer ses choix, s’épanouir, définir son art et se définir soi-même. Voilà ce à quoi tendent nos étudiants à leur entrée à l’etpa et ce qu’ils parviennent à accomplir au fil des ans.
Ils réalisent alors que le talent s’exprime par le travail et la persévérance.

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L’édito
de Charlotte Cabanel

Cheffe d’établissement de l'ETPA

"Une très forte motivation, une vraie passion et un engagement total !

C’est avec ces qualités et ces forces que les étudiants en Photographie parviennent à s’épanouir à l’ETPA. Entourés d’une équipe solide et professionnelle, les étudiants sont encouragés à développer leurs compétences et à s’approprier leur propre vision photographique.

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Le campus de Toulouse est certifié Qualiopi sous le numéro de certification N°2022/98147.1.

Évoluant dans des locaux favorisant la création avec un matériel de pointe, les étudiants savent évoluer avec rigueur, enthousiasme et détermination vers le monde professionnel auquel ils se destinent.

Les voir se réaliser chaque année et atteindre leur objectif est un immense privilège."











La certification Qualité a été délivrée au titre des catégories d’actions suivantes : Actions de formation, Validation des acquis de l’expérience (VAE).

Télécharger le certificat

De nombreux prix remportés par nos anciens

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Alexis Vettoretti

Prix de la photo Camera Clara 2021 - Mention spéciale

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Ana Arevalo

Prix Camille Lepage 2021

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Cloé Harent

Prix ISEM 2021 - Prix jeunes photographes

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Maxime Matthys

Prix ISEM 2019 - Prix jeunes photographes

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Ana Arevalo

Prix Leica Oskar Barnack 2021

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Sara Imloul

Prix Levallois 2019

Nos partenariats

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Nos formations en
quelques chiffres

88%

de réussite au BTS Photographie en 2023

48

ans d'expérience dans la photographie

Bac+3

Niveau post bac obtenu après l’année de spécialisation

650

mètres carrés de studio, sont dédiés aux étudiants

Les rendez-vous à ne pas manquer

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Retour sur le séminaire Ubisoft (Jeu Vidéo)

L’ETPA de Montpellier a eu le privilège de recevoir un florilège de professionnels, tous employés chez Ubisoft Montpellier, pour un séminaire qui s’est étalé sur 2 jours. Le but de ce séminaire était d’offrir un tour d’horizon des métiers du jeu vidéo à nos étudiants.À destination des 1ères années, cet événement est un moyen supplémentaire d’aider nos étudiants à choisir leur spécialité pour la suite de leur formation. En effet, les métiers du jeu vidéo sont riches et variés, car ce média fait appel à différents domaines créatifs et techniques. Ce n’est pas moins de 9 professionnels du jeu vidéo que le célèbre studio français nous a envoyés, afin qu’ils partagent leur expérience avec un parterre d’étudiants qui démarrent tout juste leur aventure.Ainsi ils ont pu, le temps d’une journée et demi, se projeter dans l’un des nombreux métiers liés à l’industrie du jeu vidéo. Du programmeur au game designer, en passant par le charact artist ou encore le sound designer, ce tour d’horizon fut très instructif ! Chaque intervenant avait pris en compte les questions, que nos étudiants leur avaient envoyées en amont, pour adapter leur exposé. C’est après un monologue riche en contenu que chaque étudiant a eu la possibilité de poser d’interagir avec les intervenants.L’événement s’est déroulé dans les locaux de Montpellier, et son studio de 600m², mais des étudiants de Toulouse se sont joints à la fête, tandis que nos étudiants de Rennes ont pu suivre les conférences à distance. Une logistique qui a permis à l’ensemble de nos campus d’en profiter !Certains ont travaillé sur Soldats Inconnus et Assassins Creed, d’autres sur Ghost Recon ou encore Crew 2. La plupart sont aujourd’hui mobilisés sur Beyond Good and Evil 2, un projet d’envergure sur lequel ils se sont parfois appuyés pour illustrer leur propos pendant la conférence. Mais étant encore en développement, et donc sous NDA (Clauses de Non-Divulgation), nous n’avons pas le droit d’en dire plus à ce sujet…Le séminaire a commencé avec Camille Pechon, RH chez Ubisoft Montpellier. Cette dernière a rappelé à nos étudiants que des informations confidentielles allaient leur être divulguées, et qu’elle comptait donc sur leur discrétion.C’est alors que Jonathan Toti-Buttin est entré en scène pour leur parler de son métier d’Associate Producer. Sa mission consiste à s’assurer qu’un projet est mené à son terme. Pour cela, il doit faire appel à ses talents de manager et de superviseur. Il faut à la fois mettre en place un process solide et canaliser la créativité des artistes de son équipe pour respecter les intentions de départ dans les délais impartis."Je me suis rendu compte pendant ma formation que j’étais assez « touche à tout » et que la chose pour laquelle j’étais le meilleur, c’était d’arriver à gérer une épique tout en ayant une vision claire de là on voulait aller.""Planifier, communiquer, mesurer et adapter, c’est ce que je fais tous les jours. Et la dernière chose importante, c’est de boire beaucoup de café !"Puis ce fut le tour de Mathieu Montreuil, un Technical Game Designer qui a beaucoup retenu l’attention de nos étudiants, sachant qu’ils sont nombreux à vouloir suivre cette voie. Il a pu répondre à de nombreuses questions, plus ou moins personnelles, telles que "Comment faire un bon Game Designer ?", "En quoi consiste votre travail au quotidien ?" ou encore "Quel film est pour vous une source intarissable d’inspiration ?""Quand vous allez arriver sur le marché du travail, ne négligez pas la différence qui existe entre un gros et un petit studio. L’approche est complètement différente, vous n’aurez pas les mêmes responsabilités. Mais surtout, avec un petit studio, vous n’avez pas un recruteur en face de vous, mais directement l’un des concepteurs du jeu, et il faut adapter sa candidature en conséquence !"Anthony Simon, Character Artist, nous a fait l’honneur de décrire en détail les différentes étapes de création d’un personnage de Beyong Good&Evil 2, ainsi que d’une présentation des outils qu’il utilise dans son travail. Outre la partie technique, Anthony a également parlé de son parcours, et notamment de son passage d’un petit studio à un gros."Quand on travaille dans une petite structure, on s’occupe de plusieurs choses à la fois : direction artistique, concept art, modélisation, animation, etc. On fait à peu près tout mais pas très bien, et c’est ce qui m’a poussé à travailler pour un gros studio comme Ubisoft. En revanche, la fenêtre de création est généralement plus restreinte."On continue avec un Level Artist, Adrian Jacques, spécialisé dans l’architecture des niveaux pour Beyond Good&Evil 2. Ce dernier a précisé qu’il existe bien d’autres choses à faire dans ce métier, mais qu’il se cantonne à la création de bâtiment sur ce projet-là."Chaque projet a des besoins différents. Vous avez la chance d’être dans une école qui vous apprend une large palette de compétences, et c’est très bien. Il y a une vraie place pour des gens polyvalents dans l’industrie, des gens capables de sortir d’un rôle étriqué pour lequel ils ont été formés. C’est pourquoi il est important de progresser sur les fondamentaux artistiques car ils vous emmèneront plus loin que des compétences techniques. Quand le métier aura changé 3 ou 4 fois de logiciels au fil de ma carrière, ce qu’il en restera dans le fond, c’est que je suis un artiste et quelqu’un qui maitrise les fondamentaux artistiques nécessaires à mon métier."L’intervention suivante était un duo de Programmeurs, Diane Primault et Antoine Bordes. Avec game designer, c’est le 2ème métier le plus connu du monde du jeu vidéo par le grand public, alors ils n’étaient pas trop de 2 pour nous parler de leur passion. Ils ont notamment décrit les grandes spécialités possibles : programmeur moteur, 3D, online, outils et gameplay. Nos 2 intervenants sont de cette dernière "espèce" et s’occupent des fonctionnalités liées à la jouabilité, aux mécaniques, à la logique et au "feeling". Antoine en a profité pour démonter l’un des préjugés les plus répandus sur sa profession :"On ne passe pas notre vie sur des lignes de code. ». Avant de préciser que c’est peut-être vrai pour ceux qui s’occupent du moteur du jeu, mais pas pour ceux qui s'occupent du gameplay."Nathan Lemaire est Economic Designer. Voici un métier qui n’existait pas il y a encore une 10aine d’années, et cela a particulièrement intrigué nos étudiants. En réalité, la création de systèmes de progression et d’économies virtuelles dans un jeu remonte à loin, notamment aux 1er RPGs (jeux de rôle). Ce n’est que récemment qu’on en a fait une spécialité à part entière, et cela est dû à la démocratisation des jeux mobile et la monétisation de contenu virtuel en monnaie réelle.   Un autre métier méconnu du jeu vidéo est celui de Sound Designer, expliqué Pierre Colomies. Cela comprend les effets sonores liés au gameplay ou à l’ambiance, mais également la musique. Il a, entre autres, travaillé sur ZombiU, Assassin’s Creed Unity et Ghost Recon Wildlands. Hormis la révélation de quelques « tips » pour créer des sons originaux, Pierre a insisté sur l’importance de défendre sa propre vision dans un projet."Il ne faut pas hésiter à y aller, à se dépasser, pour produire les effets recherchés. Quelquefois, ça peut aller très loin, comme dynamiter des barres d’immeubles entières pour obtenir le son d’une explosion. Et c’est grâce à des projets comme ceux-là que l’on a le droit à des banques de sons exceptionnelles."On termine avec la réaction de quelques étudiants qui ont assisté à ce séminaire :"Ce séminaire était une bonne idée, ça permet d’avoir un aperçu de la façon dont on travaille dans le secteur du jeu vidéo, notamment sur de gros projets. Et avoir des professionnels qui nous font des retours sur leur expérience personnelle, c’est toujours intéressant. Ce que j’ai préféré c’est que l’on a eu des intervenants parlant de métiers bien différents et qui se complètent, ça permet d’avoir une bonne vision d’ensemble de la production d’un jeu vidéo.""Le Game design m’a pas mal plu et il y a eu aussi la conf sur le sound design. On n’en entend pas souvent parler, du coup c’était cool qu’on nous présente ça aussi.", Alexis."C’était vraiment intéressant d'avoir le retour de personnes qui sont en plein dans le milieu professionnel et qui participent à des projets AAA. Ça permet de se faire une meilleure idée de ce que font les différents corps de métier.""Le métier qui m’a le plus intéressé est celui de game designer. C'est ce que j'aimerais faire à terme, donc c'était vraiment sympa et rassurant de voir que c'était bien ce que j'imaginais !", Vincent. 

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Grand Prix Photo 2021 - Cérémonie et Lauréats (Photographie)

Le Grand Prix Photographie de l’ETPA s’est déroulé le 24 juin dernier. Le travail des étudiants en 3ème année à l’ETPA a été confronté aux regards des professionnels qui ont attribués un Grand Prix, un Prix Spécial du jury et 4 mentions aux lauréats de la promo 2021.Album photoLa consécrationLe 1er prix des praticiens photographes, décerné chaque année à l'étudiant qui a produit un ensemble de projets parmi les plus aboutis, a été attribué par un jury de professionnels de renom. Ce dernier évalue les compétences techniques, artistiques et la créativité des différents candidats. L’intégralité des travaux effectués dans le cadre de cette année a fait, à cette même occasion, l’objet d’une exposition, où parents et professionnels de la photographie ont été invités à découvrir le talent de chacun. Pour les étudiants, ce jury représente la concrétisation de 3 années d’études et une mise en lumière de leur travail. Parallèlement, un 2ème prix et des mentions spéciales du jury ont été également attribués en fonction des « coup de cœur ».Les lauréatsCette année le jury, composé de Jane-Evelyn Atwood, Alain de Baudus, Yannick Labrousse, Gilles Favier, Pascal Clément, Laetitia Guillemin, Patricia Morvan, Tao Douay, Ludovic Careme ont attribué les différents Prix :Grand Prix - Maëva Benaiche pour sa série MagmaPrix Spécial du jury - Marie Huguenin pour sa série Gueules d'arbresLes Mentions spécialesEn plus du Grand Prix et du prix spécial du jury, ce dernier récompense d'autres étudiants pour l'ensemble de leurs travaux. En voici la liste :Flavie Bessaguet, notamment pour sa série Air studioAlexandre Rougé-Thomas, notamment pour sa série Club kidVictor Tionnais, notamment pour sa série EmmaüsLara Sangline, notamment pour sa série DémasquésFélicitations à tous pour ce merveilleux travail digne de véritables professionnels ! (Crédit photo : Johanna Senpau)

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Retour sur notre Stage Découverte (Jeu Vidéo)

Le 16 et 17 février dernier, l’ETPA a ouvert ses portes à des lycéens curieux de découvrir notre formation Jeu Vidéo et les métiers qui se rapportent à ce secteur. Durant ces 2 jours, nos professeurs ont pu les initier à la création d'un jeu vidéo, et peut-être, éveiller chez eux une vocation qui les aidera à faire leur choix dans leur orientation post-bac.Découvrez l'aventure incroyable de ces stagiaires grâce à notre journal de bord ! Journal de bord – Jour 1, les premiers pas au donjon ETPAAbdelmadjid, Audrey, Cléa et Issac ne savaient pas ce qui les attendait alors qu’ils venaient de franchir la porte d’entrée de l’ETPA.Ils s’étaient tous lancés le même défi : découvrir les métiers du jeu vidéo !L’appréhension se mêlait à l’excitation alors qu’ils se trouvaient dans le hall, dont l’épicentre faisait miroiter des viennoiseries appétissantes. Un piège pour détourner leur attention ? Non, seulement de quoi leur donner assez de force pour affronter cette matinée. C’est alors que le glas tomba : on leur annonçait le programme de ces deux journées de stage. Le défi était de taille !Leur première quête consisterait à comprendre les métiers des créateurs de mondes, les Game Designers. Ils prirent donc la route vers une mystérieuse salle informatique, guidés par le mage Matthieu Carron, professeur en gestion de projet à l’ETPA.Leur journée fût ponctuée de diverses épreuves. Ils durent créer eux-mêmes différents niveaux de plateformers (Level Designer), puis les tester ensemble (QA Tester).Les regards se croisaient, chacun jaugeait l'autre, se demandant s’ils devaient s’affronter ou coopérer. Ils choisirent finalement la seconde solution, unissant leurs forces pour arriver au bout de leur quête commune. Leurs efforts furent récompensés par un ravitaillement bien mérité (des pizzas bien garnies et bien huilées). Nos jeunes aventuriers les dévorèrent goulument avant de reprendre le chemin de cette aventure. C’est ainsi qu’ils parvinrent au dernier niveau de cette première journée de stage : l’Antre Obscure des 3ème année. Ils y rencontrèrent le big boss Livio Ambrosini (promo 2017 et environment artist sur Assassin’s Creed Valhalla), exceptionnellement présent dans ces lieux pour un workshop. Une fois le combat remporté, les stagiaires purent rencontrer les étudiants en 3ème année et découvrir les jeux vidéo en cours de création. S’ensuivit une session de playtest effrénée dont nos stagiaires aventuriers ressortirent encore une fois victorieux.Journal de bord – Jour 2, l’aventure continueRemis de leur première journée grâce à un repos bien mérité, nos stagiaires reprirent le chemin de l’école afin d’achever leur quête. Ils furent accueillis par un nouveau mage, Gauthier Vaillant, professeur en infographie et modélisation 3D. De là, s’en suivit une journée riche en enseignement et en découverte de la 3D. Le mage leur lança bon nombre de défis, avec des exercices de texturing et de création de scène 3D, appréhendant ainsi les métiers de 2D/3D Artist, de texturing artist ainsi que de modélisateur 3D. Chacun d’entre eux construisit son propre univers, sa propre scène 3D, sous le regard attentif et bienveillant de notre grand mage de la modélisation.Et c’est ainsi que prit fin leur aventure, enrichit par ces pratiques et cette découverte des métiers du jeu vidéo. On peut parler de succès pour nos stagiaires qui repartirent vers leurs contrées plus ou moins lointaines, et que nous retrouverons peut-être dès la rentrée prochaine.À suivre...Prochaine ouverture du donjon ETPA : avril 2021

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Des étudiants ETPA à la Global Game Jam Online (Jeu Vidéo)

Pour cette édition 2021, deux groupes d'étudiants ETPA ont participé à l'une des Game Jam les plus importantes de l'annéePour ceux qui ignorent encore de quoi il s'agit, une Game Jam est un événement dans lequel des étudiants/passionnés/professionnels du jeu vidéo se réunissent en équipe pour mettre leur créativité et leur talent à l'épreuve. Le but étant de créer un prototype à partir d'un thème déterminé et en un temps record ! 24 à 72h en moyenne leur sont accordées, cela dépend des règles établies par les organisateurs. D'ordinaire, une game jam réunit tous les participants dans un même endroit. Convivialité et effluves animales sont de la partie, mais c'est un peu différent pour la Global Game Jam puisqu'elle a lieu en ligne.Cette année, ce n'est pas moins de 28 000 créateurs, répartis dans 104 pays différents, qui ont participé à l'événement, pour un total de 6000 jeux sortis tout droit leurs esprits dérangés !Parmi eux, des étudiants de Toulouse et de Montpellier qui ont dû créer un jeu en 48h, à partir du thème suivant : "Lost&Found".Des étudiants de 1ère et 2ème année ont relevé le défi...depuis chez euxÀ ma droite, je vous présente :l'équipe de 2ème année toulousaine : la team SaWype !Ces 6 compères ont intitulé leur jeu The Swipe Forest. Mis à part deux d'entre eux, c'était leur toute première expérience de Game Jam.Dès le début du projet on s’est très bien entendus, il n’y pas eu de tension, on étaittous sur la même longueur d’onde, et ça c’était génial ! (Emma)L'équipe a travaillé à distance, en vocal, pour créer un puzzle game dont les 2 héros sont une humaine et son familier. Alors qu'ils traversent une forêt, les deux amis se perdent et se retrouvent isolés l'un de l'autre. Le joueur alterne alors entre les deux personnages et doit comprendre l'utilisation des différentes orbes magiques pour les aider à retrouver leur chemin et les réunir à nouveau.Tout le long du projet la bonne humeur était présente. Lors des 2 dernières heures, la direction artistique du jeu et son développement étaient terminés. Il ne restait plu qu'à mettre en place le Level Design. Nous avons alors tous mis la main à la patte pour terminer à temps les niveaux qui constituent le jeu. Un chapitre très stressant, puisque un puzzle game sans niveau n’a aucun intérêt. (Marie)Tester The Swipe ForestÀ ma gauche, les challengers montpelliérainsqui suivent une 1ère année au campus Créatif ! (Ouais, les mecs se la jouent "mystère"...)Ces 4 là ont préféré travailler en live et se sont réunit dans un appartement tout équipé, aux lumières néon tamisées, en toute intimité...Ataraxy est un jeu narratif dont le but est de collecter des artefacts, représentant chacun différentes émotions, pour atteindre l'ataraxie (la tranquillité de l'âme). Le défi que représentaient la programmation pure et l'implémentation des designs dans le jeu, nous a obligé à avoir une organisation béton tout le long de l'épreuve. (Brieux)Leur intension de départ ? Faire comprendre aux joueurs l'importance des émotions. Pour cela, ils se sont appuyés à la fois sur la narration et un game design qui comporte essentiellement 2 phases : le déplacement de l'âme du joueur dans une sorte de labyrinthe, et une phase plus technique, consistant à sonder une zone en 3 dimensions pour trouver l'artefact invisible. Le but était de créer un jeu représentant un minimum de défi, mais assez simple pour laisser le joueur libre d'interpréter les thèmes abordés.À noter qu'il y a eu un vrai travail de composition sur la musique, et cette dernière participe grandement à l'immersion dans le jeu.Tester AtaraxyBravo à tous pour avoir relevé ce challenge !!

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Conférence d'Éric Viennot (Jeu Vidéo)

Éric Viennot, Game Designer français réputé, a livré quelques-uns de ses secrets lors d'une conférence qu'il a donné en visio à nos étudiants ETPA Jeu Vidéo.Un faiseur d'histoires interactives et un pionnier du transmédiaIl est principalement reconnu dans le métier pour avoir porté des projets aux concepts innovants. Ces derniers ont la particularité de proposer des narrations fortes et marquantes pour les joueurs. C'est d'ailleurs la raison qui l'a poussé à travailler dans le domaine du jeu vidéo, son désir de raconter des histoires interactives sur lesquelles les joueurs peuvent avoir un impact. Il est également un pionnier dans le domaine du transmédia et il croit fortement en l'avenir de la réalité augmentée (RA).Parmi ses réalisations les plus connues, on trouve Aventures de l'Oncle Ernest, La Boite à bidules, la série des In Memoriam et Alt-Minds.Il début sa carrière en 1990, période à laquelle il co-fonde le studio Lexis Numérique. Entre 1998 et 2014, il s'écoulera plus de 8 millions de jeux vidéo, parmi lesquels des licences très populaires comme la série Alexandra Ledermann (Ubisoft) ou des titres plusieurs fois primés comme In Memoriam ou Expérience 112.Plusieurs casquettes, entre divertissement et cultureDirecteur de création, Éric est avant tout un véritable auteur narratif, chose plutôt rare dans le secteur. Cette passion pour l'écriture lui voudra de recevoir des mains du Ministre de la Culture, la distinction de Chevalier des Arts et Lettres en 2007 avec Peter Molyneux.Éric Viennot ne se cantonne pas au divertissement, il travaille plus largement pour le domaine du tourisme, et de la culture, en tant qu’auteur indépendant depuis plusieurs années. Enfin, pour ce qui est du transmédia, cet artiste accompli a fondé  En parallèle, il a fondé au sein de Thecamp (centre d'innovation des entreprises à Aix-en-Provence), la Hive, une résidence internationale dédiée à la création transdisciplinaire. 

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Interview de Jane Evelyn Atwood (Photographie)

30 ans d’intervention à la section photo de l’ETPAFêtant cette année, ses 30 ans d’intervention à l’ETPA, Jane Evelyn Atwood est une fidèle de l’école. Chaque année, nos étudiants ont ainsi l’honneur de l’accueillir et de découvrir le parcours professionnel de cette photographe franco-américaine.Tel un passeur de relai, Jane Evelyn Atwood vient raconter les différentes étapes de sa carrière de photographe, de ses débuts, 19 rue des Lombards, jusqu’à aujourd’hui.La rue des Lombards c’était mon ETPAEntretien avec Jane Evelyn AtwoodQue souhaitez-vous transmettre lorsque vous venez raconter votre parcours aux étudiants de l’ETPA ?La passion ! Mais aussi l’expérience. Ça fait longtemps que je fais de la photographie ; j’ai appris de mes erreurs et je leur transmets cela en espérant qu’ils pourront être avertis plus rapidement que je l’ai été. Je suis contente de pouvoir les aider et les inspirer en partageant mon vécu.Je souhaite également leur faire prendre conscience de la difficulté qu’il y a à être photographe. Car même si c’est une passion, ce n’est pas facile. C’est compliqué de devenir photographe, quelle que soit l’époque, et il n’y a pas de mode d’emploi. Selon moi, être photographe est quelque chose qui vient du cœur, des tripes. Il faut que ça soit une passion. Et surtout, il faut avoir quelque chose à dire. Quel est, selon vous, le plus important lors de l’apprentissage de la photo ?Avoir une base technique suffisante pour être capable de faire de la photographie sans penser à la technique.Lorsque l’on conduit une voiture manuelle : on conduit sans penser aux changements de vitesse, on fait ça de manière automatique et l’on regarde uniquement ce qui vient vers nous. Pour moi, il en va de même en photographie. Evidemment, c’est plus facile aujourd’hui, grâce au digital. La technologie du numérique permet d’avoir une marge d’erreur bien plus grande qu’à mes débuts. Lorsque j’ai commencé la photographie, il fallait être précis sur la lumière, sinon on pouvait jeter le diapositif. De la même manière, il fallait décider dès le départ si l’on souhaitait travailler le sujet en noir et blanc ou en couleur. Aujourd’hui la question ne se pose plus puisque l’on peut changer cela après la prise de photo. Justement, vous qui travaillez le noir et blanc, mais aussi la couleur ; diriez-vous que la façon d’aborder le travail est différente en fonction du choix qui est pris ?Complètement ! Pour moi, le sujet va demander d’être fait en couleur ou noir et blanc. Pour mes travaux personnels, ce n’est pas moi qui décide, c’est le sujet qui l’impose. Même s’il est vrai qu’à mes débuts je travaillais en noir et blanc parce que cela était moins cher que la couleur. Vous qui parlez "d’obsession" pour les sujets que vous choisissez ; quand savez-vous que votre travail est terminé et abouti ?Mon travail est très personnel, et chacun de mes sujets commence par une interrogation de ma part. En effet, lorsque je choisis un sujet à photographier, je ne le connais pas du tout. J’apprends à le comprendre en le photographiant. Au fur et mesure que je trouve des réponses à mes questions, d’autres interrogations s’imposent à moi. Et cela continue jusqu’à ce que je puisse apporter une réponse à toutes mes questions. Je dirais donc que j’ai fini lorsque je n’ai plus de question, lorsque j’ai travaillé le sujet de A à Z. Mais je pense que c’est surtout un ressenti. Il n’y a pas de moment exact où je me suis dit que j’étais arrivée au bout de mon travail ; c’est un feeling qui s’impose à moi. Je vous avoue que, même aujourd’hui, je ne suis pas sûre de moi. De ce fait, j’ai une tendance à rester longtemps sur mes sujets. Mais je ne pense pas que cela soit un défaut, car il est très important d’être en accord avec soi-même lorsque l’on décide d’arrêter un sujet. Diriez-vous que la relation que vous avez avec vos sujets pourrait être comparable à une relation amoureuse ?C’est toujours une relation d’amour. Et même si je suis triste lorsque j’arrête de travailler sur un sujet ; je ne leur dis pas Adieu. Je m’interdis de penser que je ne reviendrais jamais sur ce sujet car si je faisais cela, je serais alors bien trop triste d’arrêter. Et puis, de toute façon ce n’est pas comme cela que ça se passe. Par exemple, lorsque j’ai sorti mon livre sur les prisons (Trop de peines. Femmes en prison), j’ai eu plusieurs autres commandes sur l’incarcération. On compare votre façon de travailler à celle d’un cinéaste. Pour vous, quelle est la différence entre le cinéma et la photographie ?La grande différence est évidemment qu’avec le cinéma, ça bouge. J’adore le cinéma, et j’aurais pu tenter ma chance dans ce milieu, mais j’étais tellement occupée avec mes photos que je n’ai pas eu le temps d’essayer autre chose. Personnellement, je ne fais pas plusieurs choses à la fois. J’en suis incapable ! Et c’est donc pour cela que j’ai toujours fait de la photographie. Quand je travaille sur un sujet, je ne veux pas me disperser.Toutefois je suis flattée de cette comparaison. Beaucoup de personnes m’ont dit que mon travail sur la Rue des Lombards était cinématographique, que cela soit à cause de la lumière, du manque de lumière ou même de l’ambiance. Cela me fait toujours très plaisir. Pour vous, quelle est la qualité essentielle pour faire du photoreportage ?L’honnêteté ! Il ne faut pas tricher ou faire de mise en scène. Le photographe doit photographier ce qu’il a devant les yeux. Et je pense que cela n’est pas négligeable car il faut arriver à le faire de façon à captiver le public.Je dirais que la deuxième qualité essentielle est l’éthique, car je pense que, plus que toute autre sorte de photographie, on regarde le photojournalisme comme une sorte de véritéPour exemple, la femme que j’ai photographié en train d’accoucher menottées. À cause de cette photo, l’on sait que c’est ainsi que cela se passait en 1996, aux USA. Et c‘est très important car cette photo a aidé à changer cette pratique.Mais même si cela ne change pas, la photo est une preuve que cela existe et ça c’est primordial.Personnellement, j’aime être considérée comme une photographe et non pas comme une photojournaliste ou une reportrice. Je trouve cela trop sectaire, et je tiens à ma liberté de photographe. J’aborde tel ou tel sujet selon ce que je considère nécessaire pour ce sujet, sans rester bloquer dans une case. À quel moment vous êtes-vous sentie photographe ?Cela est arrivé longtemps après mon premier travail, sur les prostituées. Je pense que j’ai pris conscience que j’étais photographe lorsque j’ai remporté le Prix W Eugene Smith, même si lors de l’obtention de ce prix j’étais très anxieuse.Je photographierai toute ma vie. C’est ce que je suis.(Image à la Une, photo de Claude Truong-Ngoc)

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