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Mahé Elipe, ancienne étudiante de l'ETPA, lauréate du Prix Françoise Demulder 2023

2023-11-24

Le Prix Françoise Demulder, créé par le ministère de la Culture en partenariat avec le festival international du photojournalisme Visa pour l’Image-Perpignan, valorise les parcours de femmes photographes de presse en consacrant chaque année deux d’entre elles pour la qualité et la singularité de leur projet. Ce prix honore la mémoire de la célèbre photojournaliste française, première femme photographe de presse à avoir reçu le prestigieux prix World Press photo en 1977. De l'ETPA au prix Françoise DemulderEt cette année, Mahé Elipe, étudiante du BTS Photographie dans notre école en 2011, fait partie des deux lauréates, pour son reportage «  Celles qui sèment la lutte  » sur les actions et manifestations des collectifs de femmes contre les violences de genre au Mexique et leur engagement en matière de politique migratoire et environnementale.En remportant le Prix Françoise Demulder 2023, Mahé Elipe s'inscrit non seulement dans la lignée des grands noms de la photographie documentaire mais également comme un exemple inspirant pour les générations futures de femmes photojournalistes.Mahé Elipe, photographe engagéePhotographe française basée au Mexique, Mahé fait partie du collectif Women Photograph. Son travail documentaire se concentre sur la condition humaine avec un intérêt particulier pour la place des femmes dans la société.Ce prix va lui permettra de finaliser ce projet à long terme commencé en 2018, qui se focalise sur les actions et manifestations des collectifs de femmes contre les violences de genre au Mexique ainsi que sur leur engagement en matière de politique migratoire et environnementale. Il s'agit d'un projet photographique qui réunit la vie de femmes de tous âges, s'élevant au-delà du statut de victime pour devenir de véritables défenseuses des droits.A cette occasion, sa série "Sembrando Luchas" sera exposée lors du Festival Visa Pour l'Image-Perpignan en septembre prochain !Félicitations à Mahé Elipe pour cette distinction méritée ! 

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"Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège" : Une Aventure Photographique

2023-11-08

La photographie est un art qui peut transcender les frontières, un moyen de capturer la beauté du monde qui nous entoure. C'est précisément ce que les photographes Antoine Buquen et Vivien Heitz, anciens étudiants de l'ETPA ont cherché à accomplir à travers leur exposition photographique intitulée "Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège." Cette exposition fascinante offre un aperçu unique de leur voyage épique à travers les paysages enneigés et les aurores boréales de la Norvège.De l'ETPA Toulouse à la Norvège...L'histoire de cette exposition commence à Toulouse, où Antoine et Vivien se sont rencontrés en 2011 pendant leur BTS Photographie à l'ETPA et ont tissé une amitié solide. Ils ont réalisé qu'ils partageaient non seulement une passion pour la photographie, mais aussi un rêve commun : capturer une aurore boréale dans le magnifique paysage norvégien. C'est ainsi qu'a débuté leur aventure en Norvège, un voyage qui les a poussés à repousser leurs limites artistiques et personnelles.Durant 15 jours, les deux photographes ont conduit de Copenhague à Trondheim, couvrant une distance de 4000 kilomètres. Au volant de leur bolide, qui leur servait également de maison, ils ont affronté des routes enneigées et des paysages glacés en saisissant chaque opportunité de capturer la beauté brute de la Norvège.A travers ce road-trip, Antoine et Vivien ont appris à voir le monde à travers des perspectives différentes, à échanger des idées, et à se confronter à eux-mêmes. Le résultat de cette aventure est une exposition qui reflète deux visions distinctes de la même destination, offrant ainsi un aperçu de leur évolution artistique et de la façon dont leur amitié s'est renforcée tout au long de leur périple.De la Norvège à la Bretagne.Nous vous encourageons à visiter la Médiathèque de Locmariaquer pour découvrir cette exposition unique qui capture l'esprit d'aventure, d'amitié et de découverte. "Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège" est une célébration de la beauté de la Norvège, de l'art de la photographie et de l'importance de poursuivre ses rêves.Exposition en accès libre, aux horaires de la médiathèque de Locmariaquer jusqu'au 15 Novembre 2023.Rencontre et Projection avec les photographes Antoine BUQUEN et Vivien HEITZ, le vendredi 10 novembre à 18h, à la médiathèque de LOCMARIAQUER.

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Gare de Toulouse Matabiau : Pablo Baquedano et sa série Ostreopsis, Baignade Interdite s’exposent

2023-10-31

Pablo Baquedano, ancien étudiant de l’ETPA et Grand Prix Photo 2014, expose sa série “Ostreopsis, Baignade Interdite” dans le cadre de l’édition 2023 de la Résidence 1+2.Ostreopsis : un condensé des défis en lien avec la pollution des côtesÉté 2021. De nombreux signalements font état sur la côte basque de sensations étranges après des baignades dans l’océan. Des irritations de la gorge, des épisodes de toux et de fièvre, des céphalées, une intense fatigue, des éruptions cutanées, des infections ORL, des troubles gastriques... Rapidement, les analyses toxicologiques pointent vers un seul et même coupable : ostreopsis. Cette micro-algue tropicale toxique, invisible à l'œil nu, prolifère sur la côte basque et apporte avec elle son lot de complications. Car en effet, les composés chimiques qu’elle produit sont non seulement toxiques pour l’homme, mais aussi pour la faune et la flore marine.Voilà le sujet de la série réalisée en 2022 par Pablo Baquedano et dans laquelle le photoreporter vient mettre en image toute la complexité et l’étendue du défi posé par la présence de cette micro-algue. Comme il l’explique, le sujet cristallise à lui tout seul “toutes les problématiques actuelles en jeu dans la gestion de nos espaces côtiers : réchauffement climatique, assainissement et traitement des eaux, augmentation du volume des eaux de pluie, pollution chimique liée à l’industrie et à l’urbanisation, dérèglement des écosystèmes, insuffisance des moyens financiers, techniques et scientifiques, impacts néfastes de l’affluence touristique…”.Un projet rendu possible grâce au plan gouvernemental de soutien à la filière presseOstreopsis, Baignade Interdite, qui s’avère a posteri une véritable enquête sur le sujet - “ces images sont là pour rendre compte d’un ressenti, d’une sensation d’inquiétude et de malaise face à l’ampleur des différentes formes de pollution de nos côtes”, confie l’artiste - a été réalisée dans le cadre de la grande commande nationale “Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire”, destinée aux photojournalistes, financée par le Ministère de la Culture et confiée à la Bibliothèque nationale de France (BnF).Celles et ceux qui le souhaitent auront l’occasion de découvrir ce travail de recherche à l’occasion d’une exposition qui se tiendra du 2 novembre au 18 décembre 2023 au sein de la Gare Toulouse Matabiau. Une manifestation qui se déroule dans le cadre de l’édition 2023 de la Résidence 1+2, dont l’ambition - rappelons-le - est d’associer science et photographie. Pile dans l'objectif de Pablo Baquedano ! Où ? Gare de Toulouse Matabiau - 64 boulevard Pierre Semard, ToulouseQuand ? Du 2 novembre au 18 décembre 2023En savoir plus : https://www.1plus2.fr/2023/09/25/pablo_baquedano-ostreopsis_baignade_interdite

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Expo d’Elena Godefroy (promotion 2023) au Panorama de la jeune photographie Européenne 2023

28 septembre 2023

Elle a obtenu son diplôme en juin dernier, raflant par là même le Prix spécial du jury photo de l’ETPA. Elle, c’est Elena Godefroy, et il ne lui aura pas fallu longtemps pour voir son travail exposé à l’occasion d’une manifestation culturelle.La jeune création photographique au service d’une identité transfrontalièreCréé en 2022, le Panorama de la jeune photographie Européenne est une manifestation culturelle créée conjointement par Lumière d’Encre, Es FAR Cultural et l’IEFC (Institut d'Etudes Photographiques de Catalogne), et financée par l’Eurorégion Pyrénées-Méditerranée. Ces trois acteurs de la photographie, qui oeuvrent chacun au cœur d’un territoire qui lui est propre (respectivement la France, la Catalogne et les Baléares), se sont associés à plusieurs écoles reconnues dans le domaine de la photographie en vue de s’appuyer sur le travail de jeunes artistes pour donner vie à une collaboration transfrontalière.C’est ainsi que l’ETPA, aux côtés de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles (ENSP), de l’École Supérieure des Beaux Arts de Nîmes (ESBAN), de l’Institut d’Etudes Photographiques de Catalogne (IEFC) et de l’Ecole Internationale de photographie Grisart, a pu présenter le travail de ses étudiants, qui avaient là une formidable occasion de se lancer dans le grand bain.Elena Godefroy, texte sur sa sériePour la deuxième édition de cette manifestation, Elena Godefroy, diplômée de l’ETPA en juin dernier, a donc été choisie pour présenter son travail “Faut pas se laisser abattre”. Cette série, qu’elle consacre aux personnes âgées et au rapport qu’entretient notre société avec la vieillesse, illustre parfaitement son travail, où la thématique est mise en lumière à travers un mélange de simplicité, de couleurs et d’absurdité qui participent à une expressivité qui ne laisse pas indifférent.Parmi les autres jeunes artistes exposés, on peut citer le travail de Thelma Garcia “A 42 plis”, celui de Sergi Orovio “Blanc sur noir”, de Jonàs Forchini “Un apprentissage du trouble”, d’Irene Monteagudo Tudela “Un bisou et bonne nuit” et de Lluc Pallicer Ribas “Coq - une vie de combat”.Félicitations à cette jeune garde, dont on n’a pas fini d'entendre parler !En savoir plusQuoi ? Le Panorama de la jeune photographie Européenne 2023Quand ? Du 30 septembre au 11 novembre 2023 / Du mardi au samedi de 10h à 13h et de 14h à 18hOù ? La Capelleta, 14 rue Pierre Rameil - 66400 Ceret

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3 expos d'anciens en septembre

11 septembre 2023

Le mois de septembre s’annonce chargé pour les artistes liés à l’ETPA ! Ce sont pas moins de 3 expositions qui débutent en ce mois de septembre, et qui sont le fruit du travail de 2 anciennes étudiantes et d’un enseignant. Focus sur les artistes qui s’exposent, et sur le caractère de leurs créations.Rétrospective du travail de Gilles FavierEt on débute avec Gilles Favier, enseignant en 3e année de la formation en photographie de l’ETPA. Le Monde en Face, qui sera exposé au Centre Photographique Documentaire du 15 septembre au 23 décembre, est une illustration parfaite de son travail de photographe. En effet, Gilles Favier, qui n’est autre que le directeur artistique d’ImageSingulières et l’un des membres fondateurs de l’Agence VU’, s’est toujours attaché à retranscrire le monde dans sa plus pure vérité. C’est donc une grande partie de son travail qui sera mis à l’honneur, et qui sera l’occasion de (re)découvrir ses travaux sur le conflit nord-irlandais à Belfast, ses clichés du tournage de La Hane, son regard sur Valparaiso ou encore sur les quartiers nord de Marseille…Où ? Au Centre Photographique Documentaire à SèteQuand ? Du 15 septembre au 23 décembre 2023Plus d’infosCloé Harent, lauréate du Mentorat VU’ / Fonds RégnierCe deuxième focus concerne le travail de Cloé Harent, Prix Spécial du jury 2019 de l’ETPA, qui avait été sélectionnée en septembre dernier dans le cadre de la 3e édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création créé en collaboration avec l’Agence VU’. Le temps est désormais venu pour les cinq lauréats d’exposer le travail accompli à l’occasion de cette année, qui leur a permis de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour le développement de leur pratique artistique. Une expo photo longuement attendue, donc, et qui va permettre de mesurer toute l’évolution de l’artiste au contact des mentors et autres experts qu’elle a pu côtoyer !Où ? À la Galerie VU’ à ParisQuand ? Du 15 au 30 septembrePlus d’infosCaroline Andrivon, une approche documentaire déjà marquéeVous nous portez le poids. Cette expression populaire gitane, qui signifie « vous nous agacez », est le nom de l’exposition de Caroline Andrivon, lauréate du Grand Prix ETPA 2023 et tout juste sortie des bancs de l’école. Pour cette série, qui sera exposée à la Galerie Photon, la jeune artiste a souhaité donner la parole aux aspirations adolescentes de trois jeunes filles issues de la communauté gitane, Fanny, Ines et Selena. Un travail au travers duquel elle propose une nouvelle lecture de leur communauté, et tente d’apporter un éclairage loin des clichés.Où ? À la Galerie Photon, à ToulouseQuand ? Du 21 septembre au 5 décembrePlus d’infos

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Journée Mondiale de la Photographie

20 août 2023

Chaque 19 août depuis 2010 est célébrée la Journée Mondiale de la Photographie. Petit retour historique sur cette "sainte" journée, qui vise à inspirer les photographes de toute la planète à partager une seule photo dans un but simple : partager leur monde avec le Monde. Voici un regard sur la photographie au fil des ans.1837La Journée Mondiale de la Photographie est née de l'invention du daguerréotype, un procédé photographique développé par les Français Louis Daguerre et Joseph-Nicéphore Niepce en 1837.9 janvier 1839Le 9 janvier 1839, l'Académie des Sciences annonçait le procédé du daguerréotype. Le 19 août, le gouvernement français achète le brevet et annonce l'invention comme un "cadeau gratuit pour le monde".Le daguerréotype n'était pas la première image photographique permanente. En 1826, Niepce a pris la plus ancienne photographie permanente connue sous le nom de Vue de la fenêtre au Gras en utilisant un procédé appelé "héliographie".La première photographie couleur durable a été prise par Thomas Sutton en 1861. Il s'agissait d'un ensemble de trois photographies en noir et blanc prises à travers des filtres rouge, vert et bleu. Cependant, les émulsions photographiques alors utilisées étaient insensibles au spectre, le résultat était donc très imparfait et la démonstration fut vite oubliée.1839 :premier selfieDès 1839, l'Américain Robert Cornelius prend ce que l'on pourrait qualifier de "premier selfie au monde". Cornelius a installé son appareil photo, a pris l'image en retirant le capuchon de l'objectif et a ensuite couru vers le cadre. Au verso de ce cliché, il a écrit :La première photo de lumière jamais prise en 1839.1957 :première photographie numériqueLa première photographie numérique a été prise en 1957, presque 20 ans avant que l'ingénieur de Kodak n'invente le premier appareil photo numérique. La photo est un scan numérique d'un plan pris initialement sur film qui représente le fils de Russell Kirsch et a une résolution de 176×176.19 août 2010Le 19 août 2010, la Journée Mondiale de la Photographie a accueilli sa première galerie en ligne mondiale. Près de 270 photographes ont partagé leurs photos et des gens de plus de 100 pays ont visité le site web. Il s'agissait de la première Journée Mondiale de la Photographie officielle d'envergure mondiale.Suivezla Journée Mondiale de la PhotographieÀ l'occasion de cette journée, un site internet dédié a vu le jour et un hashtag dédié existe même sur les réseaux sociaux pour ne rater aucune photo !

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[ALUMNI] L'ETPA au Festival Tubecon

01 juillet 2023

L'ETPA, partenaire de Tubecon, était présente au festival le samedi 1er juillet au The Social Hub à la Place de l’Europe de Toulouse.Le Tubecon est un événement permettant d'échanger avec plus de 20 influenceurs. Jusqu'à cette année, le festival était en digital, mais pour cette 4e édition les créateurs de contenus ont pu rencontrer leur communauté.Le festival :Il y avait diverses activités, de 10h à 18h il était possible d'assister à des animations, comme des sessions "chillchat" où il était possible de dialoguer avec les influenceurs. Parmi les influenceurs, on a retrouvé Celia Felicci, Achillemagic, Djayzon Karavane, Edou.sj et les toulousains The Wingzer, Candice Dejan, Marfit, Royza et Lousk... En plus de cela, il y a eu des shows, et les visiteurs ont pu participer à des jeux tels que "Gran Turismo Sport" sur un simulateur. Il y avait des casques de réalité virtuelle et des bornes d’arcade avec Street fighter II, Pacman, King Kong. Il y a aussi eu des jeux en réseaux sur des PC (dont Trackmania), tandis que sur PS5 il y avait FIFA 23 et Super Smash Bros sur Nintendo Switch.Il y avait aussi des activités sportives, avec une initiation au rugby (avec Ligue Occitanie Rugby Diego Sarthou et Vincent Clerc), au basket (avec Hoops et Toulouse Basket), au breakdance et à l'afro dancehall (avec l'Ice Crew et Break in school).Différents stands proposaient des activités comme par exemple l'école ESMA qui permettait d'essayer les jeux des élèves, il y avait aussi des sessions make-up / coiffure (avec le Campus Jasmin), un bar à ongle (avec Victoria Baby), des customisations / nettoyage de sneakers (avec Dr.Sneakers Store), des cours de cuisine (avec Manon), et des foodtrucks...Pour finir, de 18h à 22h il y a eu 3 concerts.Notre stand Ilana Vogelweith tenait le stand de l'ETPA, elle a réalisé les photographies. Ilana est une ancienne étudiante de l'ETPA. Elle a obtenue son BTS photographie en 2016, et aujourd'hui elle est photographe portraitiste, sur Toulouse.L'équipe de Tubecon avait prévu tout un set ! Il y avait une zone avec un décor de plage avec différents accessoires (bouées, chaises de plage, lunettes, palmes...), et une zone pour faire des portraits en noir et blanc.Si vous avez participé, et que vous n'avez pas reçu vos photos, vous pouvez les demander à l'adresse mail suivante : s.vacquier@ecolescreatives.com

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[Grand Prix] Cérémonie de remise des Prix 2023

22 juin 2023

Le Grand Prix Cet événement est un moment très attendu pour les élèves de 3e année d'Approfondissement Photographique, il signe la fin de 3 années intensives.Nos étudiants ont fait preuve d'un investissement et cela se conclut avec cette remise des prix. Leurs séries ont été confrontées au regard de divers professionnels de la photographie, qui jugent la qualité du travail élaboré, l'originalité et la pertinence.Lors de cette journée, les projets des étudiants font l’objet d’une exposition, dans laquelle parents, élèves et professionnels peuvent déambuler, à la découverte des productions.Le juryAlain de Baudus, photographeLaetitia Guillemin, rédactrice photo et cofondatrice / membre du comité artistique du festival CirculationsPatricia Morvan, co-dirige l'Agence VuYannick Labrousse, photographePascal Clement, photographeGilles Favier, photographe et cofondateur / directeur artistique du festival Images SingulièresPatrice Normand, photographeEric Garault, photographeMartina Bacigalupo, photographeTao Douay, ancien élève, photographeLes lauréatsDifférents prix ont été remis, le "Grand Prix", le "Prix Spécial", et 4 "Mention Spéciale".C'est Caroline ANDRIVON qui a remporté le Grand Prix pour ses séries "Au carré", "Vous nous portez le poids", "(Im)passe" et enfin, "Et si on disait qu'on était tous là ?". Elena GODEFROY s'est vue récompensée pour son travail avec le Prix Spécial. Et enfin, il y a eu Mathis BENESTEBE, Lucie COMBY, Alexandre DELON et Romane SEGUY qui se sont démarqué en se voyant décerné une Mention Spéciale.Leur Instagram :Caroline AndrivonElena GodefroyRomane SeguyMathis BenestebeAlexandre DelonLucie CombyCaroline ANDRIVON :Qu'as-tu ressenti quand tu as entendu ton prénom ?Honnêtement, je n'ai pas ressenti grand-chose parce que je crois que je me suis mise dans une petite bulle. Je n'ai pas spécialement stressé sur le Grand Prix tout au long de l'année, même à la fin de l'année. De toute façon, les dés étaient lancés et tout le monde avait sa chance. La pression, est montée peut-être 1h, voir 2h avant, donc je me suis un peu mise dans ma bulle à cause du stress...Actuellement, comment décrierais-tu ton état d'esprit ?Alors là, je pense que ça fait 1 h que c’est passé donc je me sens peut-être plus apaisée, moins stressée et j'ai envie de profiter. Ce sont les derniers moments où je suis à l'école, encore étudiante donc j'ai envie de profiter avec tout le monde. C'est surtout ça. Mais heureuse et contente. Je commence à réaliser, c'est chouette.En quelques mots, pourrais-tu résumer ton expérience à l'ETPA ?C'était trois années hyper intenses, hyper enrichissantes et c'était vraiment super. Puis j'ai repris les études un peu tard, j'étais avec des plus jeunes. J'avais un petit peu d'appréhension, je ne savais pas ce que je faisais là, même si j'étais attiré par la photo.Mais j'ai vu que j'avais énormément appris. Effectivement, grâce à l'école, grâce à l'équipe pédagogique qui est très passionnée par le métier, ça a été hyper enrichissant. Etre avec des gens passionnés, ça permet de faciliter la transmission. Et en tout cas, ça a marché avec moi.Explication de sa série "AU CARRÉ" :"Souvent oublié, parfois méprisé, le personnel ménager des hôtels remet en état, chaque jour, les chambres et les parties communes. Généralement ce sont des femmes. Elles se plient, se tordent, se contorsionnent, s’adaptent au lieu exigu, pour être le plus rapide possible, et continuer sur les chambres suivantes. Elles doivent à la fois donner une bonne image de l’établissement, respecter une cadence infernale, une exigence de propreté irréprochable sans aucune reconnaissance.Pourtant , je les vois gracieuses, l’enchainement de ces gestes précis forme une chorégraphie qui se mêle au décor.J’ai suivi le quotidien d’une de ces femmes de chambre pendant plusieurs mois jusqu’à ce qu’elle soit remerciée. Emploi jetable, remplaçable mais indispensable, symbole d’une précarité et d’une pénibilité au travail."L'événement en images :

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[ALUMNI] Exposition "Le cinéma aime l'Occitanie"

16 juin 2023

C'est environ 80 films par an qui sont tournés en Occitanie. Pour l'occasion, viens à l'exposition "Le cinéma aime l'Occitanie" à l’Hôtel de Région de Montpellier.Occitanie films présente l’exposition en partenariat avec Le Club de la presse Occitanie, et La Région Occitanie.Roger Arpajou, l'un des 15 photographes exposés :Roger, est un ancien élève de l'ETPA. Il a débuté sa carrière dans le reportage, dans une époque où la Guerre Froide était toujours présente. Par la suite, il a créé son studio à Cazères où il réalisait des portraits, et des mariages. C'est seulement plus tard, en 1987, où il a eu l'opportunité de réaliser quelques clichés pour le film La Passion Béatrice, de Bertrand Tavernier. Le producteur, intéressé par ses clichés l'a recontacté pour le film Il est génial papy, film de Michel Drach. Depuis, il réalise des photographies de tournages et des affiches de films.L'exposition Composée de 24 photos, elle reflète la diversité des films en présentant les différents corps de métiers nécessaires à la réalisation des films tournés sur le secteur d'Agnès Varda (cinéaste), Jean-Baptiste Durand (réalisateur et auteur), André Téchiné (réalisateur, acteur et scénariste), et de réalisateurs / scénaristes (avec Léa Fehner, les frères Larrieu et Dominik Moll).Les autres photographes exposés sont Cécile Mella, Fabien Malot, Ulrich Lebeuf, Camille Sonally, Julien Goldstein, Jean-Loup Gautreau, Anaël Garcia-Drieu, Alain Héraud, Jérôme Prébois, Julien Panié, Jean-Claude Lother, Thibault Grabherr, Éric Travers, et Séverine Goupil.Prochaine visite, gratuite et ouverte à toutes et tous :Mardi 4 juillet à 18h30, visite de l’exposition, en présence de l’équipe d’Occitanie Films et de photographes de plateau.Si vous souhaitez vous inscrire à la visite du 4 juillet à Montpellier : clique iciAdresse de l'exposition : Parvis de l'Hôtel de Région à Montpellier - 201, Av. de la Pompignane, 34000 Montpellier.Visites passées :- Le samedi 10 juin à 11h, visite audio-décrite de l’exposition par Marie-Christine Fourneaux, en partenariat avec l’antenne régionale de la Fédération des Aveugles et Amblyopes de France.- Le vendredi 16 juin à 18h30, visite de l’exposition, en présence de l’équipe d’Occitanie films et de photographes de plateau.© Roger Arpajou / Fidélité Productions / Wild Bunch - Quand on a 17 ans d'André Téchiné© Liza Bibikova pour Occitanie films.

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[ALUMNI] Remise de prix ISEM 2023

20 mai 2023

La remise de prix ISEM 2023 a eu lieu ce samedi 20 mai au cinéma Comoedia à Sète !L'ETPA est associée depuis 2018 à ImageSingulières et Mediapart pour le prix ISEM. Ce prix est composé de 2 prix, le Grand Prix ISEM et le Prix Jeune Photographe ISEM. Les lauréats bénéficient du soutien d'ImageSingulières, de l'ETPA et de Médiapart pour leur projet photographique.Depuis 2018, la ville de Sète accueille le Festival ImageSingulières avec des photographes renommés. Le Grand Prix (ouvert aux photographes du monde entier) et le Prix Jeune Photographie (réservé au moins de 26ans, résidant en France) ont eu leurs lauréats dévoilés par l'organisateur même de cet événement, le directeur artistique, Gilles Favier. Lui-même ancien étudiant de l'ETPA.Le Grand Prix :Attribué à Javier Arcenillas, pour son travail "La Guarena".Ce prix, doté de 8 000 euros, permettra au photographe de développer et finir son travail.Lors de la prochaine édition d'ImageSingulières il sera exposé, et publié sous forme de portfolio par Médiapart.Javier Arcenillas, est un photographe espagnol, enseignant et pratiquant la photographie. Son travail explore une nouvelle forme de documentaire associant des portraits et des sténopés pour créer des images étranges, reflétant la notion du temps qui passe, ainsi que la précarité des habitants de la province de Zamora. Cette région est menacée par la désertification et la crise climatique.Je suis très honoré de recevoir ce prix. Je vous exprime ma satisfaction et ma gratitude, je vous remercie d'avoir reconnu mon travail, d'avoir récompensé mon projet par ce prix. Je suis vraiment très fier. Pour moi, cette récompense est très importante parce que travailler sur quelque chose qui est tellement personnel, mon propre territoire... C'est difficile. Toutes les grandes œuvres se trouvent dans des zones en conflit et certaines œuvres impliquent une poésie particulière, et j'ai essayé de refléter cela dans ce travail.Le Prix Jeune Photographe :Attribué à Ophélie Loubat, pour son travail "Yves et Ismaïl".Ce prix, doté de 2 000 euros, permettra à la photographe d'être publiée dans des portfolio sur le site Médiapart.Ophélie Loubat, née à Toulouse en 1999, elle aime travailler sur des sujets du quotidien, sur les relations familiales, et l'exil. Sa série "Yves et Ismaïl" est un travail délicat et intime qui met en lumière la relation père / fils bien que soixante années les séparent ainsi que le décès la mère d'Ismaïl.Je suis très heureuse de recevoir ce Prix, cela a été une vraie surprise à laquelle je ne m’attendais pas ! Grace à ce prix je vais continuer ce projet sur la monoparentalité, rencontrer d’autres familles dans différents endroits en France et différents profils. Je suis trop contente et c’est hyper motivant pour continuer. J’ai rencontré Yves et Ismaël, je les ai photographiés dans leur quotidien, leur relation père /fils, le rapport à l’âge (ils ont 60 ans d’écart) et l’absence de la mère (décédée). Aujourd’hui Ismaël est rentré au lycée, il prend son indépendance et son père qui retrouve son individualité.Vous avez pu y rencontrer deux de nos professeurs, Stéphane Redon et Philippe Grollier (responsable du cycle d'approfondissement Photographique).L'un de nos anciens étudiants, Clément Marion, lauréat en 2022 du Prix Jeune Photographe était sur place pour réaliser des portraits avec un Afghan box. C'est un dispositif développé par les photographes en Afghanistan pour développer des photographies en absence d'un laboratoire traditionnel. Il est constitué d'une boîte, généralement en bois, avec une fenêtre permettant la manipulation du film à l'intérieur. La manipulation du film exposé doit se réaliser dans l'obscurité. Une fois les traitements chimiques réalisés, le développement est rincé et séché.Voici les différentes expositions du Festival :Jusqu'au 1er octobre dans les jardins du Musée Paul Valéry : Felipe Fittipaldi, lauréat du Grand Prix ISEM 2022 avec EustasyJusqu’au 06 août au Centre photographique documentaire : six photographes de la Grande commande sur la France de la BNFJusqu'au 25 juin au musée ethnographique de l'Étang de Thau : Éric GARAULTJusqu'au 11 juin : Lorenzo CASTORE dans la salle TarbouriechMichel VANDEN EECKHOUDT dans la Chapelle du Quartier HautRodrigo GOMEZ ROVIRA au CycloNatela GRIGALASHVILI au Jardin Antique MéditerranéenPrix ISEM 2022Grand Prix : Felipe Fittipaldi pour sa série "Eustasy" sur le changement climatiquePrix Jeune Photographe : Clément Marion (ancien étudiant) pour sa série "Phoenix" sur les grands brûlés.Prix ISEM 2021Grand Prix : Myriam Boulos pour son projet sur le LibanPrix Jeune Photographe : Chloe Harent (ancienne étudiante) pour sa série "Le temps d’une pause".

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[ALUMNI] Exposition de François Passerini de sa série "Falaises" à Bordeaux

07 mai 2023

La série "Falaises" de François Passerini en exposition à "Arrêt sur l'image galerie" du 6 mai au 10 juin 2023.Francois Passerini est un photographe indépendant qui a étudié à l'ETPA pendant trois ans, terminant ses études en 2003. Depuis, il a connu une carrière dans le monde de l'art, travaillant dans différents studios avant de rejoindre l'atelier Zelium à Bordeaux en 2013.François aime travailler sur des projets collectifs, des commandes. Sa pratique est variée et se nourrit de ses rencontres. Il a déjà exposé à plusieurs reprises, notamment à Toulouse avec Métamorphoses I et Métamorphoses II.Passerini expose sa série de photographies intitulée "Falaises", elle met en avant son travail réalisé avec la compagnie de spectacle vivant Baro d’Evel.Baro d'EvelEst une compagnie qui possède une approche multidisciplinaire. Lors de leur représentation, ils révèlent un rêve éveillé. Sur leur scène, vous pourrez y retrouver des artistes, mais aussi des enfants, ainsi que des animaux qui ont le rôle de guide et d’observateur.L'expositionLe vernissage de la série Falaises de Passerini aura lieu le 6 mai de 14h30 à 18h30, à la galerie "Arrêt sur l'image", à Bordeaux. Cette exposition donne l'occasion de pouvoir échanger avec l'artiste. La série Falaises de Passerini est un exemple parfait de la beauté et la complexité du travail de la troupe.Depuis 2016, François Passerini accompagne les créations du duo franco-catalan, Camille Decourtye et Blaï Mateu Trias, et de sa tribu. Une aventure au long cours durant laquelle il suit notamment la naissance de Là, puis Falaise, diptyque en noir et blanc où se jouent les couleurs du langage singulier inventé par la compagnie. Associé à différentes étapes des créations, François Passerini pose son regard sur un geste, une expression, un instant… et en tire une multitude de photographies, comme autant d’histoires en clair-obscur.Adèle GlazewskiLe vernissage du 6 mai à la galerie Arrêt sur l'image sera l'occasion pour le public de découvrir les dernières œuvres de l'artiste.L'exposition est disponible jusqu'au 10 juin, à "Arrêt sur l'Image Galerie", 45 cours du Médoc, 33300 Bordeaux.

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[ALUMNI] Exposition de Mathis Benestebe au théâtre Le Centquatre de Paris

14 avril 2023

A l'occasion du festival Circulation(s), Mathis Benestebe (étudiant de troisième année), expose sa série «Chimères» avec Noah AMBIEHL. Cette 13ème édition se déroule du 25 mars au 21 mai, au théâtre Le Centquatre à Paris.Le festival Circulation(s) est un festival de la jeune photographie européenne. Il est organisé par le Collectif Fetart sur 2000m2 d'expositions, ce sont 27 artistes de 14 nationalités différentes qui exposent leurs travaux.Pendant ces expositions, vous pourrez trouver d'autres événements tels que des workshop sur les sujets suivants "Comment valoriser votre projet photo ?" et "La révolution du regard". Vous pourrez aussi assister à des visites guidées."Chimères" :Chimères est le récit intime et autobiographique du couple que forment les deux photographes, Noah Ambiehl et Mathis Benestebe. Au fil de leurs images, on découvre l’être aimé à travers le regard de l’autre et la singularité de leur histoire se révèle. L’amour est ici porteur de leur affirmation individuelle, accompagnant l’expérience de la transition de genre, comme un socle et une force au quotidien. Oscillant entre brutalité et tendresse, leur approche instinctive explore les sentiments ambivalents de leur vécu. Ce travail photographique mené sur une année ancre leur histoire dans le réel, loin des fantasmes collectifs, et donne la possibilité aux deux artistes d’en réaliser la véracité."Mathis, le 29 juin 2022 :Je t’aime tellement quand tu te lèves le matin tout fatigué, quand tu observes le monde, quand tu souris, quand tu dors, je t’aime tellement quand tu parles pendant des heures (...) Je suis si heureux, heureux à en pleurer de t’avoir rencontré. Merci, merci d’être là. Merci d’être ce que tu es. Je suis triste de partir mais je reviens bientôt, pour continuer cette vie ensemble, jusqu’au bout.Noah, le 17 mai 2022 :Je ne pourrai jamais expliquer à quel point je l’aime. Mon amour ne peut se compter et pourtant je suis sûr d’une chose, c’est bien trop grand pour ne pas le vivre pour toujours.Mathis BenestebeEst un photographe de 20 ans. Né à Saint-Nazaire, il habite et étudie à Toulouse. Actuellement en troisième année d’approfondissement photographique à l’ETPA, il s’intéresse aux nouvelles approches documentaires et souhaite notamment témoigner de l’importance du souvenir dans la construction identitaire.Pour Mathis, la photographie agit comme une preuve tangible de sa propre réalité. Il est un photographe du contrôle, il aime penser et prévoir. Comme pour matérialiser au plus juste des symboles impalpables, il choisit avec attention chaque élément de ses images. C’est un rédacteur jaloux du poète, s’efforçant de trouver l’émotion là où elle se cache.(source)FetartEst porté par des valeurs fondatrices : liberté de ton, ouverture à toutes les expressions, la valorisation de la diversité photographique, le renouvellement des supports d’expression, l’audace de proposer une réflexion novatrice, l’accès à la culture et la transmission au plus grand nombre.Le Cenquatre de ParisUn lieu infini d’art, de culture et d’innovation Situé dans le 19e arrondissement, le Cenquatre-Paris est un espace de résidences, de production et de diffusion pour les publics et les artistes du monde entier.Chaque année, c’est plus de 380 équipes artistiques qui sont accueillies en résidence : plasticiens, musiciens,  danseurs, comédiens ou circassiens.

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