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Portrait Grégoire Eloy

[CONFÉRENCE] Grégoire Eloy

31/01/2022 - 2 minutes
Conférences

Régulièrement dans l'année, nous invitons des professionnels à présenter leur parcours et leur actualité à nos étudiants. Intitulé "Les grands témoins de la photographie", cette série de conférences est l'occasion d'aborder des thèmes divers qui sont autant de sujets créatifs potentiels. Tous ces intervenants sont désireux de partager leur passion avec nos apprentis photographes, et aujourd'hui, il s'agit de Grégoire Eloy et du thème "Vers un nouveau monde à construire".

Né en 1971, Grégoire Eloy est photographe documentaire depuis 2003. Pendant 10 ans, il a voyagé dans les pays d’Europe de l’Est et d’Asie centrale pour des projets au long cours sur l’héritage soviétique et les guerres du Sud Caucase, notamment ses séries Les Oubliés du Pipeline (2006) et Ressac (2008-2013). En 2010, il collabore avec la communauté scientifique pour une trilogie sur la science de la matière qui a fait l’objet d’une série de livres monographiques dont A Black Matter (Journal, 2012) et The Fault (RVB Books, 2017). Le dernier volet, sur la glaciologie, est en cours.

Depuis 2015, il s’intéresse à notre rapport à l’environnement et au sauvage lors de résidences immersives en milieu naturel : Résidences du Guernsey Photography Festival (2016-2017), du Tbilisi Photo Festival (2018-2020), du Champ des Impossibles (2020-2022) et du festival l’Homme et la Mer du Guilvinec (2021). Grégoire Eloy est lauréat de la Bourse du Talent Reportage en 2004. Il est membre du collectif Tendance Floue depuis 2016. En 2021, Grégoire Eloy est lauréat de Prix Niépce, une candidature parrainée par Philippe Guionie. En 2021, Grégoire Eloy est lauréat de la Résidence 1+2 à Toulouse (programme de résidences photographiques dont l'ETPA est un partenaire historique). Au croisement des sciences de la matière et de la glaciologie, il participe de cette hybridation des champs de la connaissance. Le public a pu découvrir son travail fin 2021, aux côtés de Myriem Karim, Laure Winants et Margaux Chataux.

 

(Crédits photo portrait : Arnaud Montfort)

 

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[LES GRANDS TEMOINS DE LA PHOTOGRAPHIE] - Retour sur la conférence de Michel POIVERT, historien de la photographie

17 avril 2024

Le vendredi 29 mars 2024, nous recevions Michel Poivert, 48ème invité du cycle « Les Grands témoins de la photographie », crée en 2008 et modéré par Philippe Guionie, enseignant en Cultures et sémiologie à l’ETPA. « Courants de la photographie contemporaine » était le thème d’une intervention dense et inédite.Michel Poivert, un invité d'exceptionMichel Poivert est Professeur d'histoire de l'art à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne, où il a fondé la chaire d’histoire de la photographie, il est critique et commissaire d'exposition, et préside le Collège international de photographie du Grand Paris (CIPGP).Il a notamment publié La photographie contemporaine (Flammarion, 2018), L’image au service de la révolution (Le Point du Jour Éditeurs, 2006), Gilles Caron, le conflit intérieur (Photosynthèse, 2012), Brève histoire de la photographie, essai (Hazan, 2015), Les Peintres photographes (Mazenod, 2017), Gilles Caron, 1968 (Flammarion, 2018) et 50 ans de photographie française de 1970 à nos jours (Textuel, 2019). Il a notamment organisé les expositions « La Région humaine », Musée d’art contemporain de Lyon (2006), « L’Événement, les images comme acteur de l’histoire », au Jeu de Paume à Paris, (2007), "Gilles Caron, le conflit intérieur" (Musée de l'Elysée, Lausanne, 2013), "Nadar, la Norme et le Caprice" (Multimedia Art Museum, Moscou, 2015), « Gilles Caron Paris 1968 » (Hôtel de Ville, Paris, 2018), Philippe Chancel Datazone, (Arles, 2019), « 50 ans de photographie française » (Palais Royal, Paris 2020).les enjeux contemporains de la photographieTout au long de cette journée, Michel Poivert a tenu une conférence captivante sur les enjeux contemporains de la photographie. Au fil de ses propos, il a soulevé des questions profondes sur la production de récits, le travail sur le passé et la mémoire, offrant une réflexion éclairante sur l'évolution de la photographie dans le contexte moderne.L'historien a débuté en explorant la notion d'un nouvel archétype d'historien : celui du présent. Contrairement à la vision traditionnelle de l'historien comme observateur détaché du passé, Michel Poivert souligne l'importance de se saisir des artistes vivants sans le recul temporel habituel. Cette approche implique un risque inhérent de se tromper, de faire des hypothèses de récits qui se transforment et s'invalident au fil du temps.L'histoire récente de la photographie, selon Michel Poivert, a été marquée par des bouleversements significatifs, amorcés dès les années 90 avec l'émergence de l'art contemporain. Cette période a vu la photographie se libérer des contraintes du reportage pour s'épanouir dans de nouveaux domaines artistiques. Le livre est devenu un espace privilégié où le nom du photographe prend de l'importance, transcendant ainsi la simple fonction documentaire des images.L'avènement du numériqueUne transformation majeure s'est produite avec l'avènement du numérique, mettant fin à l'ère industrielle de la photographie argentique. Ce changement a été perçu comme une "violence considérable" par Michel Poivert, bousculant les savoir-faire établis et redéfinissant la photographie en tant que médium. Désormais, la frontière entre photographie et image s'est estompée, ouvrant la voie à de nouvelles explorations artistiques.L'évolution vers le numérique a également redéfini le marché de la photographie, où la quête d'excellence et d'unicité prime désormais. Les grands tireurs sont devenus des figures incontournables, contribuant à la consécration de la photographie en tant qu'œuvre d'art. Cependant, Michel Poivert souligne que cette transition a également posé des défis, notamment la nécessité de réinventer le médium pour s'adapter à ce nouvel environnement.Une approche écologique et écosophique de la photographieDans cette optique, notre intervenant encourage une approche écologique de la photographie, où l'obsolescence n'est pas perçue comme un obstacle mais comme une opportunité de penser une culture anténumérique. Il propose une "archéologie du médium", invitant les artistes à se libérer des contraintes du progrès et à explorer les richesses du passé. Cette réflexion s'inscrit dans une perspective plus large sur le rapport au temps, où la décélération et la résonnance  deviennent des concepts clés. Michel Poivert a mis en lumière la manière dont les artistes contemporains explorent les concepts de contamination et de résilience à travers leur pratique photographique. En s'appuyant sur des exemples concrets, il a illustré comment certains photographes repensent leur rapport à l'environnement et à la durabilité en utilisant des techniques et des matériaux alternatifs. Cette approche, qu'il qualifie de "photographie écosophique", témoigne d'une volonté de révéler les conséquences de l'activité humaine sur la planète tout en cherchant des voies de résistance et de régénération. Par le biais de leurs œuvres, ces artistes offrent ainsi une réflexion profonde sur la relation complexe entre l'homme et son environnement, incitant à une prise de conscience et à une action collective face aux défis écologiques contemporains.La conférence de Michel Poivert à l'ETPA a été bien plus qu'une simple rétrospective historique. Elle a été une invitation à repenser la photographie dans un contexte contemporain, à explorer de nouveaux horizons artistiques et à réinventer les récits visuels pour les générations futures. L'ETPA remercie chaleureusement Monsieur Poivert et Monsieur Guionie, d'avoir apporter cet éclairage à nos étudiants pour cette dernière conférence de l'année des Grands Témoins de la Photographie. 

Etpa - Actualités
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Mois de l’Impact 2024 : les Écoles Créatives inaugurent leur LAB sur le thème de l’IA

10 avril 2024

Les Écoles Créatives dévoilent la création d’un laboratoire de recherche - le LAB - avec pour objectif d’apporter un éclairage sur les recherches et les innovations qui impactent de façon significative le secteur de la création et de l'Entertainment. Pour son premier événement, la thématique des Intelligences Artificielles a été retenue, promettant un mois d’avril chargé en rencontres, ateliers, conférences… et enseignements ! C’est quoi le LAB ? Créé à l’initiative des Écoles Créatives - ESMA, ETPA, CinéCréatis, Pivaut et IFFDEC -, le LAB est un laboratoire de recherche qui mobilise des acteurs du secteur des Industries Créatives et de l'Entertainment, de la recherche et de la pédagogie. Fort de son expertise artistique et technologique dans les domaines de l’animation 3D, 2D, le jeu vidéo, le concept-art, le cinéma, le design… ce groupe de recherche a pour objectif, d’expérimenter et de créer des solutions mettant en lumière les défis des Industries Créatives face aux enjeux de société (écologiques, inclusifs, technologiques…). Dans une démarche d’émulation, de collaboration et de co-création, le LAB souhaite devenir un acteur utile aux étudiants, aux enseignants, aux professionnels dans la conception de nouveaux imaginaires et de nouvelles pratiques propices à un rapport au monde responsable et ouvert. “L’IA entre nos mains : les enjeux et pratiques du secteur créatif & de l’Entertainment” Les intelligences artificielles et leurs répercussions sur le secteur créatif, soulèvent des questionnements que les Écoles Créatives ont souhaité investir, en mobilisant des spécialistes représentatifs et compétents dans de nombreux domaines. L’objectif : apporter des éclairages instructifs et pluriels, et permettre aux créatifs de demain ainsi qu’aux équipes pédagogiques de se positionner et d’accompagner les changements.  Pour cette première édition du Mois de l’Impact*, c’est sur le thème “L’IA entre nos mains : les enjeux et pratiques du secteur créatif & de l’Entertainment” que les intervenants seront amenés à se positionner, avec un programme d’ateliers, de tables-rondes et de conférences extrêmement riches. Un programme exhaustif et diversifié, à la hauteur des enjeux C’est le campus nantais qui ouvre les débats le 18 avril prochain, de 16h à 18h, avec une première table-ronde sur la thématique “IA - Fiction & Emotion”, et qui rassemblera notamment :  Marie-Julie Catoir Brisson (Audencia) et Julien Pierre (Université de Sherbrooke), docteur-es et professeur-es en Information et Communication, qui nous feront part de leurs découvertes en matière d’approches créatives pour accompagner la conception des IA et des technologies empathiques, Guillaume Jallot et Marie-Laurence Turpin, respectivement CTO et Directrice des actions culturelles au sein du studio Xilam Animation, et Carole Couson, avocate au Barreau de Nantes, qui apportera son éclairage en tant que spécialiste du droit de la propriété intellectuelle et du numérique. Cette table-ronde sera animée par Dimitri Granovsky, producteur, éditeur et enseignant, anciennement président du RECA (Réseau des écoles françaises de cinéma d’animation) et modérateur des sessions Work in Progress du Festival d’Annecy.  Une entrée en matière qui s’annonce pour le moins enrichissante et instructive. Par la suite, le programme promet d'être tout aussi dense, avec :  sur le campus de Toulouse : une table-ronde le 23 avril prochain de 16h à 18h sur le thème “IA - Images & nouvelles écritures”, avec l’expertise de :  - Alexandre Gefen, Directeur adjoint scientifique du CNRS Sciences Humaines et Sociales et Directeur de recherche à l’Université Paris 3-Sorbonne nouvelle-ENS, qui est notamment l’auteur de Créativités artificielles (Les Presses du réel, 2023) et de Vivre avec ChatGPT (L’Observatoire, 2023),  - Nicolas Rougier, Directeur de recherche à l’INRIA de l'Université de Bordeaux et chercheur en IA et Neurosciences computationnelles, qui explicitera ce que sont et font ces IA dans le domaine de l’image.   - Maurice Benayoun, chercheur et professeur à la School of Creative Media de l’Université Municipale de Hong Kong, qui nous fera part de son expérience en tant que chef de file de la création numérique (il a notamment créé l’entreprise-laboratoire Z-A, pionnière dans le domaine des nouveaux médias, de l’image de synthèse, de la réalité virtuelle et de la muséographie interactive), sur le campus de Montpellier : une table-ronde le 24 avril de 16h à 18h sur le thème “IA ,Création & Anticipation”. À cette occasion, des personnalités pourront confronter leurs points de vue notamment :  - Jean-Paul Fourmentraux, socio-anthropologue (PhD), critique d’art (AICA), professeur à l’Université Aix-Marseille, Directeur de recherche (HDR Sorbonne) à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) et Directeur du programme Art-Science-Société de l'Institut Méditerranéen d'Etudes Avancées (IMéRA, RFIEA), qui nous fera part de ses analyses sur les relations de l’IA à la création, et à l’émancipation sociale,  - Betty Jeulin, avocate spécialiste du droit du numérique et de la propriété intellectuelle au Barreau de Paris et experte des questions relatives aux intelligences artificielles génératives et au droit de la propriété intellectuelle, qui nous fera profiter de son expérience au sein de directions juridiques dans l’industrie musicale, puis de cabinets d’avocats internationaux en droit des nouvelles technologies,  - Marianne Carpentier, Chief innovation & technologies Officer à Newen Studios (Groupe TF1). Depuis 2015 chez Newen elle dirige les innovations et conduit les projets prospectifs transversaux pour les producteurs de fictions comme le lancement du premier Metaverse européen (mai 2022) dans le domaine de l'Entertainement. Ses principaux domaines d’activités : Media & assets management, Delivering, Data Production Management & workflows, innovation, cloud, IA, VFX, Virtual sets, NFT, METAVERSES, CSR (RSE), diversité & Inclusion...sur le campus de Rennes : une table-ronde le 25 avril de 16h30 à 18h30, sur le thème “IA - Design & Jeu”, qui rassemblera :  - Elodie Migliore, doctorante au sein du Centre d’Etude Internationale de la Propriété Intellectuelle (CEIPI) de l’Université de Strasbourg, et qui travaille sur l'intersection entre droits de la propriété intellectuelle et intelligence artificielle,  - Frederique Krupa, Directrice du Digital Design Lab de l’Ecole de Design Nantes Atlantique (EDNA), chercheure et designer, experte en UX/UI, en éthique de l’intelligence artificielle ainsi qu’en game design, et qui a notamment dirigé la chaire Transdisciplinary New Media de Paris College of Art,  - Maud Chalmel, graphiste et illustratrice dans l'édition jeunesse, elle évolue dans le monde ludique depuis 2015. Elle est également cofondatrice du collectif de la Charte des Illustrateurs Ludiques (CIL), qui milite pour le droit des illustrateurs et pour la légifération de l'utilisation de l'Intelligence Artificielle (IA), sur le campus de Lyon : une table-ronde le 30 avril prochain, de 16h à 18h, sur le thème “IA - Ethique & créations numériques”, avec notamment l’expertise de :  - Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à la faculté des sciences de Sorbonne Université et président du Comité Ethique du CNRS, spécialiste d’intelligence artificielle (EurAI Fellow – European Association for Artificial Intelligence), des humanités numériques, de la philosophie computationnelle et de l’éthique des technologies, et Président du comité d’orientation du CHEC (Cycle des Hautes Etudes de la Culture) et membre du comité pilote de l’éthique du numérique du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique),  - Anthony Masure, professeur associé et responsable de la recherche à la Haute école d’art et de design de Genève (HEAD – Genève, HES-SO), dont les travaux portent sur les enjeux du machine learning et des technologies blockchain sur le design et les arts visuels, - Béatrice Bauwens, Directrice VFX & Post. Elle dirige la postproduction et les VFX chez MPC Film et Episodic pour la France et pour la Belgique. Avec 10 studios répartis sur 10 sites à travers le monde, MPC est acteur leader dans le domaine des effets visuels et de l’animation depuis plus de 45 ans. Elle a reçu avec l'équipe de MPC Paris le trophée César & Technique 2023 pour leur contribution technique à la création cinématographique au cours de l'année écoulée,Des ateliers en présentiel et en distanciel À l’occasion du Mois de l’Impact, les Écoles Créatives organiseront également des ateliers et conférences sur des thématiques spécifiques, en vue de favoriser une exploration approfondie des interactions entre l'intelligence artificielle et le domaine artistique. Prochainement dans vos agendas : - un atelier “IA & Concept Art”, le 19 avril à Nantes, animé par le concept artist et character designer Andreï Riabovitchev, qui a notamment travaillé Seventh Son, Wrath of the Titans, X-Men First Class, Wolfman, Harry Potter et les Reliques de la Mort, parties 1 & 2, et qui expérimente l’IA dans le cadre de projets artistiques personnels,  - un atelier webinaire “Legal Design” à Montpellier, animé par Betty Jeulin, avocate experte en propriété intellectuelle et en intelligence artificielle. Le legal design est une méthode qui permet de créer une boîte à outils juridiques compréhensibles et utilisables dans diverses situations professionnelles et pédagogiques. Cet atelier porte sur l’exploitation ainsi que la protection des créations par les métiers du design graphique et de l’audiovisuel dans le contexte des IA génératives,  - un atelier webinaire “Bestiaire des IA” animé par Marie-Julie Catoir Brisson (Audencia) et Julien Pierre (Université de Sherbrooke), qui proposeront ce catalogue des vices et vertus des créatures artificielles présentes dans la fiction et sur le marché. En les présentant sous la forme d'archétypes, le jeu permet de remobiliser nos imaginaires pour composer une IA désirable. Les participants seront amenés à se choisir collectivement des repères éthiques pour concevoir, prescrire ou travailler avec l’IA, - une série de débats animés par les enseignants des Écoles Créatives (programmation en cours pour le mois de mai) sur les enjeux pratiques de l’IA à toutes les étapes d’une production.   Pour conclure ce Mois de l’Impact sur les IA, une conférence-bilan sera organisée dans le courant du mois de mai 2024 sur le campus des Écoles Créatives de Bordeaux, lors de laquelle :  - Karim Khenissi, Directeur Général des Écoles Créatives ainsi que du Comité Scientifique de ce Mois de l’Impact présentera les enjeux des Écoles Créatives sous le prisme des IA,  - Isabelle Teissedre, Directrice Générale Pédagogique des Écoles Créatives ainsi que de ce Comité Scientifique, développera les orientations pédagogiques des Écoles Créatives,  - Sandra Mellot, Directrice Scientifique de l’événement et du Laboratoire, exposera une synthèse des enquêtes, tables-rondes et ateliers, et dévoilera également les projets et projections des Écoles Créatives en termes de recherche. Les enregistrements des divers échanges seront disponibles en replay sur nos sites web et réseaux sociaux. Restez connectés ! * Le Mois de l’Impact est un événement annuel organisé par les Écoles Créatives, et dont le but est de mettre l’accent sur un sujet d’actualité en vue de l’approfondir et de le questionner au sein des écoles. 

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[EVENEMENT] Conférence de Lionel Hahn : photographe de renommée mondiale

08 avril 2024

Le 24 avril prochain, l’ETPA accueillera Lionel Hahn, photographe de renommée internationale. Connu pour avoir couvert de grands événements comme les Oscars, le Super Bowl, la Coupe du Monde de football et tant d’autres, ses clichés ont fait le tour du monde. Entre les strass et paillettes d’Hollywood, et les bancs des stades de foot, venez (re)découvrir le travail emblématique de ce photographe de talent, ancien étudiant à l’ETPA.Débuts dans la photoLionel Hahn découvre la photographie dès son plus jeune âge par son père, qui lui offre un boitier réflex Minolta SRT-101 équipé d’un objectif 50mm/1,7. C'est le début d'une passion qui le mènera plus tard vers de hauts sommets comme les Oscars, le Super Bowl, la Coupe du Monde de Football et tant d’autres. Ses premiers pas dans le monde de la photographie se font aux côtés du photographe Gérard Millet, qui détecte en lui un fort potentiel et l'encourage à explorer davantage ce monde visuel.Le photographe rejoint ensuite l'ETPA en 1991, où il obtient son BTS Photographie suivi de la 3e année d’Approfondissement Photographique, marquant ainsi le début d'une grande carrière. En 1994, Lionel rejoint le service des archives de l'agence photographique de sport Vandystadt - Allsport France à Paris suite à l’appel d’un ancien élève de l’ETPA, où il se familiarise avec le métier et se forge une solide réputation. Rapidement repéré pour son talent, il devient photojournaliste chez Abaca Press, une agence de presse généraliste parisienne. Son travail minutieux et sa capacité à capturer l'instant parfait le propulsent sur la scène internationale où il devient correspondant permanent à Los Angeles en 2000.En route pour Los AngelesLionel Hahn devient un acteur incontournable de la scène médiatique hollywoodienne où il y couvre les plus grands événements du monde tels que les Oscars, les Golden Globes ou bien en France avec le Festival de Cannes. Entre le glamour d’Hollywood et le monde du sport, le photographe à la renommée internationale a toujours su capturer l’essence même d’instants marquants, uniques et historiques, que ce soit lors des Jeux Olympiques, du Super Bowl, du festival de Cannes et autres.Sa venue à l'ETPA pour une conférence le 24 avril promet d'être un moment unique et passionnant. Les étudiants et le grand public auront l'opportunité de pouvoir échanger avec un photographe à la renommée internationale dont son travail est apparu dans le Time Magazine, le New York Post, Gala, Paris-Match, Libération et bien d’autres.Ne manquez pas cette conférence exceptionnelle qui s'annonce être riche en contenu ! Informations pratiques : Date : Mercredi 24 avril 2024 Lieu : Amphithéâtre de l'ETPA - 50 route de Narbonne - 31320 AUZEVILLE-TOLOSANE Heure : 17h00RESERVEZ VOS PLACES GRATUITEMENT

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