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Christian Sanna expose à la Résidence 1+2!

18/09/2017 - 2 minutes
Actualité
Christian Sanna, ancien étudiant en formation Photogrpahie de l'ETPA, a le plaisir de vous inviter au vernissage de son exposition dans le cadre de la Résidence 1+2 aux cotés de Israel Arino et Leslie Moquin!

Le vernissage aura lieu le Vendredi 13 octobre à 18H au Musée Paul Dupuis (13 Rue de la Pleau, 31000 Toulouse).

L’exposition

Du 13 octobre au 19 novembre 2017, les résultats de cette exploration seront présentés au Musée Paul Dupuy (Toulouse), à l’occasion d’une grande exposition parrainée par l’académicien Jean-Christophe Rufin.

Qu’est-ce que la Résidence 1+2?

La Résidence 1+2 est un programme photographique ancré à Toulouse et à vocation européenne durant lequel trois photographes confrontent leurs regards d’auteur.Elle associe chaque année trois photographes (un photographe de renom et deux jeunes photographes), trois villes (Toulouse, Barcelone, Bruxelles), trois supports (exposition, ouvrages, film).

La nouvelle édition de la résidence

« Pour cette nouvelle édition nous avons choisi Israel Ariño (Espagne), Leslie Moquin (France) et Christian Sanna (Italie/Madagascar).

Issus de générations et d’horizons différents, leurs expressions photographiques interrogent les thèmes de l’eau, du vent et de l’air.

Ces trois regards, associés pour la première fois, sont entrés en résonance pendant deux mois, suscitant des productions protéiformes et transversales. » détaille Philippe Guionie, directeur de la Résidence 1+2.
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Clémentine Scholz : un shooting studio audacieux inspiré par un workshop

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Inspirée par un workshop captivant animé par Alice Lévêque, Clémentine Scholz a relevé un défi personnel ambitieux : concevoir et réaliser un shooting studio de A à Z.« Mon approche de ce shooting a été pour moi l'expression pure de ma créativité. » C. ScholzL’ETPA a en effet eu le plaisir d’accueillir Alice Lévêque, lauréate du Grand Prix Photo ETPA 2015, pour une conférence consacrée à la photographie de mode. Cette intervention a captivé les étudiants en abordant d’une part les attentes des marques en commande photographique, et d’autre part les perspectives artistiques de la photographie éditoriale. Alice Lévêque a notamment souligné que l’objectif d’une séance éditoriale est de sublimer un produit tout en racontant l’histoire d’une marque.Inspirée par ce workshop, Clémentine Scholz, de la promotion 2024, a relevé un défi ambitieux : réaliser un shooting studio complet, en dehors de son cursus scolaire.« J'ai décidé de me challenger et de voir si j'étais capable de concevoir tout un projet studio.»Grâce à un espace de travail réfléchi, Clémentine et son modèle, @ortye, ont laissé libre cours à leur imagination dans le studio de l’ETPA. « J'ai créé un espace dans lequel ma modèle et moi, pourrions nous mouvoir aisément, laisser exprimer nos instincts et interagir avec notre espace. », confie Clémentine. Sa manière d’explorer les prises de vue a donné vie à une série de photos uniques.Ce projet, réalisé dans le studio de l’ETPA, reflète l’esprit d’innovation et de liberté créative chez ses étudiants. Ce shooting illustre également la façon dont les anciens invitent les promotions suivantes à repousser les limites de leurs compétences techniques et de l’expression de leur potentiel artistique.

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Etpa - Actualités
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[ALUMNI] Cloé Harent, Lauréate du Prix Tremplin Jeunes Talents

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Cloé Harent est née en 1998 dans le Sud-Ouest, fille de danseurs classiques, elle est immergée dès son enfance dans un univers où l’art est un moyen d’expression fondamental. Après une formation à l'ETPA de Toulouse, où elle obtient son diplôme en 2019, elle se distingue dès cette année-là par le Prix Spécial du Jury du Grand Prix ETPA. Depuis, sa carrière connaît une ascension fulgurante, marquée par une série de résidences et de distinctions qui la placent parmi les jeunes talents les plus prometteurs de sa génération. © Cloé Harent, Bruit Rose, Planches Contact 2024Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUn tremplin vers de nouveaux horizonsCloé Harent a été récompensée par le Prix Tremplin Jeunes Talents du festival Planches Contact 2024 à Deauville. Le Tremplin Jeunes Talents de Planches Contact, qui permet à des photographes émergents de bénéficier d’une résidence à Deauville. Un prix décerné par un jury d'experts, présidé par la photographe Sarah Moon. Le travail de C. Harent a captivé les membres du jury, qui ont salué sa capacité à saisir, avec poésie et sensibilité, les liens subtils entre l’Homme et la nature. Une série inédite intitulée Bruit rose qui révèle la richesse fragile des écosystèmes littoraux normands, en particulier ceux des estrans, ces zones de transition entre terre et mer.En capturant ce monde microcosmique souvent négligé, Cloé Harent invite le spectateur à une contemplation de la biodiversité, tout en soulignant la fragilité de cet équilibre naturel. Les estrans apparaissent comme des espaces poétiques où la vie, dans sa plus petite forme, lutte pour subsister. Son regard attentif transforme ces éléments en une exploration sensorielle, où chaque image semble suspendue dans le temps. En outre, le prix Prix Tremplin Jeunes Talents offre une nouvelle résidence de création pour Cloé au Festival InCadaques en 2025.  Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUne démarche intuitive et sensibleLors de sa résidence à Deauville, elle raconte l’émerveillement qu’elle a ressenti face aux coquillages et autres objets laissés par la mer. Sa série Bruit rose est une œuvre qui invite à réfléchir sur l’impact du temps et des marées sur la vie maritime et la biodiversité locale. Elle propose une approche attentive sur les traces que l’Homme et la nature laissent sur notre environnement.Le jury de Planches Contact n’a pas manqué de souligner la singularité de son travail, décrivant l’approche de C. Harent comme une invitation à découvrir un « Deauville de l’infiniment petit, où mollusques, lichen, anémones » se révèlent dans toute leur beauté. Cloé Harent choisit de se concentrer sur les traces minuscules laissées par les marées : coquillages, algues, et autres débris organiques que l’océan dépose sur la plage. Ces fragments, que la mer rejette et que le temps façonne, deviennent les témoins d’une vie invisible.  Bruit rose, Planches Contact 2024 © Cloé HarenUn regard neuf sur le monde vivantÀ travers son travail, Cloé Harent propose un regard neuf sur le monde vivant, où l’intuition et la sensibilité sont les clés pour appréhender la beauté fragile de notre environnement. Bruit rose est un hommage photographique à la puissance et à la fragilité de la nature. Sa démarche sensible, fondée sur la contemplation, nous invite à découvrir les richesses cachées de notre planète.Le travail de Cloé Harent rappelle que l’art, par sa capacité à révéler l’invisible, a un rôle essentiel à jouer dans la prise de conscience environnementale. Sa capacité à capturer la poésie de la nature et à créer un dialogue visuel entre l’Homme et l’environnement, fait d'elle une des artistes à suivre de près dans les années à venir.  

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