Inscrivez-vous aux journées portes ouvertes de l'ETPA. Rendez-vous le 2 décembre de 10h à 18h pour venir découvrir votre future école.

Plus d'infos
<p>ETPA, <br />école de photographie<br />depuis 1974</p>
etpa photographie

ETPA,
école de photographie
depuis 1974

ETPA, 3 formations pour devenir un professionnel de la photographie

Depuis 1974

Notre école de photographie
a presque 50 ans...

... et l’expérience, ça compte : nos formations en photographie ciblent précisément la capacité des étudiants à maîtriser leurs environnements techniques et artistiques, pour révéler leur talent. Derrière notre objectif, une formation photo professionnalisante, reconnue par l’État.

etpa

Une école de photographie,
trois parcours de formation professionnelle en photo

Le parti-pris de l’ETPA : la découverte et la consolidation des connaissances théoriques et pratiques nécessaires à l’activité de photographe professionnel, sur la base de matériel haut de gamme. Et autant de compétences qui jalonnent les contenus composés pour nos 3 diplômes de photographie…

Formation de Praticien Photographe
○ 2 ans

L’angle de champ est ici la pratique intensive de la photographie. Analogique ou numérique, en studio de prise de vue… La formation praticien photographe nourrit aussi les connaissances de l’étudiant sur le matériel et l’histoire de la photographie.

BTS Photographie
○ 2 ans

Futurs techniciens photo et artistes photographes de demain : cette formation leur est dédiée. Le BTS photographie de l'ETPA invite à explorer les réalités techniques, artistiques et scientifiques de la discipline.

3e Année de Spécialisation
○ 1 an

La formation professionnelle en photographie peut être complétée à l’ETPA par un approfondissement en photographie sur une année. L’occasion de développer une démarche artistique propre, d'approfondir ses compétences et d’expérimenter les conditions d’exercice de sa future activité professionnelle.

Titre de "Photographe", de niveau 6 (Bac +3/4), enregistré au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). 

Ils témoignent

etpa photographie temoignages
etpa temoignagesetpa temoignages

Rémi Carayon

J'ai fait mes études de photographie à l'ETPA où j'ai obtenu le Grand Prix en 2008. J'ai ensuite participé à plusieurs résidences artistiques et travaillé en tant que photographe d'architecture et de reportages d'entreprises. Je suis ensuite revenu à l'ETPA pour y enseigner la prise de vue et le laboratoire couleur numérique.

etpa temoignage
etpa temoignagesetpa temoignages

Stéphane Redon

L’enseignement permet d’être au contact des futurs acteurs de la photographie, de les faire progresser et de vivre en temps réel l’évolution de chaque étudiant. Cela leur permet ainsi d'acquérir les bases techniques nécessaires à l'utilisation optimum de l'outil photographique, en abordant les différents grands thèmes de la photographie.

etpa temoignage
etpa temoignagesetpa temoignages

Philippe Grollier

Diplômé de l’ETPA en 1999, j’ai toujours entretenu des liens étroits avec l’école et les anciens étudiants tout au long de ma carrière de photographe.La photographie est par nature un mode de transmission.Partager, transmettre, pousser les étudiants dans une démarche personnelle, pour affiner leur regard et leur écriture photographique sont pour moi des éléments essentiels. Je les accompagne dans leur processus de création et de réflexion pour qu’ils puissent aller le plus loin possible dans tous les domaines de la photographie.

etpa temoignage
etpa temoignagesetpa temoignages

Cloé Harent

Ce que j’ai beaucoup aimé c’est que chaque professeur apportait quelque chose qui nous permettait de comprendre le métier de photographe. Avec Stephane Redon, j’aimais l’exigence dont il faisait preuve. Cela m’a fait comprendre que l’on n’était pas juste là pour faire des études, que c’était un milieu exigeant et qu’il fallait l’être soi-même si l’on souhaitait réussir.

etpa temoignage
etpa temoignagesetpa temoignages

Franck Galy

Étudiant en BTS Photographie, j’ai pu acquérir le savoir technique de la profession et aussi me familiariser au milieu professionnel grâce à la formation et aux différents stages. [...] Et c'est fort de cette expérience professionnelle que je suis revenu à l'ETPA en tant qu'enseignant, dans la spécialité tirage et postproduction numérique, et ainsi transmettre aux étudiants ce que j'ai pu apprendre afin qu'ils possèdent les outils pour s'exprimer photographiquement.

etpa temoignage
etpa temoignagesetpa temoignages

Shannon Aouatah

De ma troisième année, je retiens de jolies rencontres. C’était très enrichissant de pouvoir rencontrer des stars de la photographie comme Jane Evelyn Atwood, Jean Christian Bourcart ou même Ludovic Carème. C’était une chance unique d’avoir ces personnes-là, à l’école, rien que pour nous. Je pense que cette année d’approfondissement aide à se développer personnellement. Ça challenge beaucoup.

etpa temoignage

Les points forts de l’école de photographie ETPA

Étudier à l’école de photographie ETPA, c’est l’opportunité d’accéder à une formation photo cohérente :

La richesse des réseaux d’acteurs de la photographie

Les professeurs de notre école de photographie ont été et restent des professionnels créatifs et engagés. À leurs côtés, l’étudiant fait le lien entre les apprentissages et la réalité de la discipline.

Des technologies actuelles ou émergentes, accessibles au fil de la formation photo

Salles de tirages, laboratoires argentique et numérique, développeuses couleur grand format, appareils photos et équipements digitaux innovants : les supports d’apprentissage disponibles dans notre école photo sont ancrés dans le présent et tournés vers l’avenir de la profession.

Un taux de réussite de 88% au BTS Photographie (sous contrat d'association avec l'État)

L’implication des équipes enseignantes de notre école de photographie motive les étudiants d’un bout à l’autre de leur formation photo. Cette émulation pédagogique et artistique porte ses fruits : en 2023, 87% de nos étudiants ont obtenu leur BTS photographie.

Galerie de travaux photo

À l’ETPA, la passion est le point de départ et la pugnacité le maître-mot. De leur arrivée et jusqu’à la fin de leur cursus, les étudiants évoluent dans un environnement où la détermination, la rigueur et la nécessité de s’exprimer prévalent sur le reste. Grandir, affirmer ses choix, s’épanouir, définir son art et se définir soi-même. Voilà ce à quoi tendent nos étudiants à leur entrée à l’etpa et ce qu’ils parviennent à accomplir au fil des ans.
Ils réalisent alors que le talent s’exprime par le travail et la persévérance.

frayssinet-tl-4x3-dsf7452.jpg

L’édito
de Charlotte Cabanel

Cheffe d’établissement de l'ETPA

"Une très forte motivation, une vraie passion et un engagement total !

C’est avec ces qualités et ces forces que les étudiants en Photographie parviennent à s’épanouir à l’ETPA. Entourés d’une équipe solide et professionnelle, les étudiants sont encouragés à développer leurs compétences et à s’approprier leur propre vision photographique.

logo-qualiopi.png

Le campus de Toulouse est certifié Qualiopi sous le numéro de certification N°2022/98147.1.

Évoluant dans des locaux favorisant la création avec un matériel de pointe, les étudiants savent évoluer avec rigueur, enthousiasme et détermination vers le monde professionnel auquel ils se destinent.

Les voir se réaliser chaque année et atteindre leur objectif est un immense privilège."











La certification Qualité a été délivrée au titre des catégories d’actions suivantes : Actions de formation, Validation des acquis de l’expérience (VAE).

Télécharger le certificat

De nombreux prix remportés par nos anciens

etpa photographie prix

Alexis Vettoretti

Prix de la photo Camera Clara 2021 - Mention spéciale

etpa photographie prix

Ana Arevalo

Prix Camille Lepage 2021

etpa photographie prix

Cloé Harent

Prix ISEM 2021 - Prix jeunes photographes

etpa photographie prix

Maxime Matthys

Prix ISEM 2019 - Prix jeunes photographes

etpa photographie prix

Ana Arevalo

Prix Leica Oskar Barnack 2021

etpa photographie prix

Sara Imloul

Prix Levallois 2019

Nos partenariats

fvi-logo.svg
image-singulieres.svg
artemifia.svg
capture
logo-circulation
logo-manifesto
logo-residence-1-plus-2
numeriphot
prophot
laboratoire-photo-toulouse.jpg
picto-online
logoiconceptpro
collectif-trigone-logo
map-toulouse.jpg
mediapart
tubecon-logo
lumieredencre
etpa photographie photo

Nos formations en
quelques chiffres

88%

de réussite au BTS Photographie en 2023

48

ans d'expérience dans la photographie

Bac+3

Niveau post bac obtenu après l’année de spécialisation

650

mètres carrés de studio, sont dédiés aux étudiants

Les rendez-vous à ne pas manquer

ana-arevalo

Ana María Arévalo Gosen

Diplômée de l’ETPA en 2014, Ana María Arévalo Gosen est une artiste complète, qui a su utiliser la photographie comme un médium au service de la société et de ses défis. Focus sur cette artiste engagée, dont le travail a rapidement su se faire une place dans le paysage photographique documentaire.La photo comme outil d’engagement social“Je crois au pouvoir des photographies pour sensibiliser et déclencher un changement durable en faveur de la justice sociale.” Ces mots, qui sont ceux d’Ana María Arévalo Gosen, témoignent du cheminement de l’artiste et de la position qu’elle souhaite assumer au travers de la photographie. Née à Caracas (Vénézuela) en 1988, elle quitte son pays en 2009 et rejoint la France. C’est à Toulouse qu’elle pose ses valises, pour suivre une double formation : la première en sciences politiques (à l’IEP), et la seconde en photographie (à l’ETPA). Elle ne le sait pas encore, mais les compétences et la culture développées à l’occasion de ces deux formations vont grandement façonner la suite de sa carrière. “J’ai rapidement compris que le médium de la photo me permettrait de donner plus rapidement un impact, nous confiait-elle en 2021*. Je pense qu’en faisant du journalisme ou de la politique, le chemin aurait été plus long avant de pouvoir changer les choses et aider les gens.” C’est à Hambourg (Allemagne) que sa carrière débute à proprement parler, où elle s’expatrie en 2014. La ville, éclectique et vibrante, lui permet d’enchainer les projets, d’affiner son identité artistique et d’élargir son regard. C’est d’ailleurs là-bas qu’à l’occasion d’un stage aux côtés de Jacob Aue Sobol, elle fait le choix d’embrasser l’approche documentaire pour questionner la société**.Le sens de la vie ou les prémices de l’engagementTrès vite, la vie la rattrape au vol, avec un moment aussi crucial que difficile : le cancer des testicules de son époux. Cette maladie, dont elle ne sait rien et qui leur tombe dessus, fera l’objet de ce qu’elle nommera ensuite son “travail le plus stimulant” et qui prendra la forme de sa série Le sens de la vie. “Au début, ces photos étaient pour nous, confiera-t-elle au magazine Polka. On les a publiées car il y a peu d’informations sur ce sujet.” Un travail riche, poignant et réaliste, qu’elle élabore pendant 2 ans (2016–2017) et qui lui permettra par la suite de sensibiliser et d’éduquer à la maladie.La confirmation avec Dias EternosEn 2017, elle retourne dans son Vénézuela natal. Dans l’interview* qu’elle nous consacrait en 2021, elle explique : “Lorsque j’ai déménagé en France, en 2009, c’est comme si j’avais divorcé de mon pays. Je suis partie du Venezuela avec un sentiment de peur et je n’y retournais presque pas. [A mon retour] en 2017, [...] j’ai vu un changement dramatique. Dans la vie des gens, même physiquement, je voyais leurs corps fatigués de s’être battus contre la crise. Ça les a changés, ça a changé la société, ça a détruit les gens de mon pays et ça se voyait. C’est à ce moment-là que je me suis dit qu’il fallait vraiment que je fasse ce que j’avais toujours voulu faire, de la photographie documentaire”. Elle débute alors un nouveau travail de grande envergure : rendre compte des conditions indignes de détention des femmes dans les cellules de son pays d’origine, qui apparaissent dans sa série Dias Eternos empreintes d’une grande violence. Les signes d’un système carcéral surpeuplé, en crise, où ces femmes semblent en proie à une grande vulnérabilité, ne tardent pas à toucher un large public. Grâce à l’obtention des bourses Women Photograph et Pulitzer Center on Crisis Reporting, Ana María Arévalo Gosen poursuivra ce travail au Salvador puis au Guatemala, témoignant d’une réalité qui touche plus globalement l’ensemble des pays d’Amérique Latine. La série Dias Eternos vaudra à l’artiste de nombreuses récompenses, dont notamment le Prix Camille Lepage au festival Visa pour l’Image (2021) et le prix Leica Oskar Barnack Award (2021).Aujourd’hui, la jeune femme, qui vit à Bilbao (Espagne), poursuit son travail de “combattante pour les droits des femmes”, toujours au travers du médium de la photographie qu’elle considère comme “une arme [...] de la narration visuelle lente”.Plus d’infosSon site officielSon compte InstagramSources* Ana Arevalo remporte le Prix Camille Lepage 2021 !** Polka - Ana Maria Arevalo Gosen  

Epta - nous rencontrer
cb256157cb2d-25-juin-2021-felipe-carrillo-puerto-quintana-roo-mexique-c-mahe-elipe-women-photograph

Mahé Elipe, ancienne étudiante de l'ETPA, lauréate du Prix Françoise Demulder 2023

Le Prix Françoise Demulder, créé par le ministère de la Culture en partenariat avec le festival international du photojournalisme Visa pour l’Image-Perpignan, valorise les parcours de femmes photographes de presse en consacrant chaque année deux d’entre elles pour la qualité et la singularité de leur projet. Ce prix honore la mémoire de la célèbre photojournaliste française, première femme photographe de presse à avoir reçu le prestigieux prix World Press photo en 1977. De l'ETPA au prix Françoise DemulderEt cette année, Mahé Elipe, étudiante du BTS Photographie dans notre école en 2011, fait partie des deux lauréates, pour son reportage «  Celles qui sèment la lutte  » sur les actions et manifestations des collectifs de femmes contre les violences de genre au Mexique et leur engagement en matière de politique migratoire et environnementale.En remportant le Prix Françoise Demulder 2023, Mahé Elipe s'inscrit non seulement dans la lignée des grands noms de la photographie documentaire mais également comme un exemple inspirant pour les générations futures de femmes photojournalistes.Mahé Elipe, photographe engagéePhotographe française basée au Mexique, Mahé fait partie du collectif Women Photograph. Son travail documentaire se concentre sur la condition humaine avec un intérêt particulier pour la place des femmes dans la société.Ce prix va lui permettra de finaliser ce projet à long terme commencé en 2018, qui se focalise sur les actions et manifestations des collectifs de femmes contre les violences de genre au Mexique ainsi que sur leur engagement en matière de politique migratoire et environnementale. Il s'agit d'un projet photographique qui réunit la vie de femmes de tous âges, s'élevant au-delà du statut de victime pour devenir de véritables défenseuses des droits.A cette occasion, sa série "Sembrando Luchas" sera exposée lors du Festival Visa Pour l'Image-Perpignan en septembre prochain !Félicitations à Mahé Elipe pour cette distinction méritée ! 

Epta - nous rencontrer
entre-deux-monde-regards-sur-la-norvege-heitz-et-buquen

"Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège" : Une Aventure Photographique

La photographie est un art qui peut transcender les frontières, un moyen de capturer la beauté du monde qui nous entoure. C'est précisément ce que les photographes Antoine Buquen et Vivien Heitz, anciens étudiants de l'ETPA ont cherché à accomplir à travers leur exposition photographique intitulée "Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège." Cette exposition fascinante offre un aperçu unique de leur voyage épique à travers les paysages enneigés et les aurores boréales de la Norvège.De l'ETPA Toulouse à la Norvège...L'histoire de cette exposition commence à Toulouse, où Antoine et Vivien se sont rencontrés en 2011 pendant leur BTS Photographie à l'ETPA et ont tissé une amitié solide. Ils ont réalisé qu'ils partageaient non seulement une passion pour la photographie, mais aussi un rêve commun : capturer une aurore boréale dans le magnifique paysage norvégien. C'est ainsi qu'a débuté leur aventure en Norvège, un voyage qui les a poussés à repousser leurs limites artistiques et personnelles.Durant 15 jours, les deux photographes ont conduit de Copenhague à Trondheim, couvrant une distance de 4000 kilomètres. Au volant de leur bolide, qui leur servait également de maison, ils ont affronté des routes enneigées et des paysages glacés en saisissant chaque opportunité de capturer la beauté brute de la Norvège.A travers ce road-trip, Antoine et Vivien ont appris à voir le monde à travers des perspectives différentes, à échanger des idées, et à se confronter à eux-mêmes. Le résultat de cette aventure est une exposition qui reflète deux visions distinctes de la même destination, offrant ainsi un aperçu de leur évolution artistique et de la façon dont leur amitié s'est renforcée tout au long de leur périple.De la Norvège à la Bretagne.Nous vous encourageons à visiter la Médiathèque de Locmariaquer pour découvrir cette exposition unique qui capture l'esprit d'aventure, d'amitié et de découverte. "Entre Deux Mondes - Regards sur la Norvège" est une célébration de la beauté de la Norvège, de l'art de la photographie et de l'importance de poursuivre ses rêves.Exposition en accès libre, aux horaires de la médiathèque de Locmariaquer jusqu'au 15 Novembre 2023.Rencontre et Projection avec les photographes Antoine BUQUEN et Vivien HEITZ, le vendredi 10 novembre à 18h, à la médiathèque de LOCMARIAQUER.

Epta - nous rencontrer
pablo-baquedano-ostreopsis-baignade-interdite-grande-commande-photojournalisme

Gare de Toulouse Matabiau : Pablo Baquedano et sa série Ostreopsis, Baignade Interdite s’exposent

Pablo Baquedano, ancien étudiant de l’ETPA et Grand Prix Photo 2014, expose sa série “Ostreopsis, Baignade Interdite” dans le cadre de l’édition 2023 de la Résidence 1+2.Ostreopsis : un condensé des défis en lien avec la pollution des côtesÉté 2021. De nombreux signalements font état sur la côte basque de sensations étranges après des baignades dans l’océan. Des irritations de la gorge, des épisodes de toux et de fièvre, des céphalées, une intense fatigue, des éruptions cutanées, des infections ORL, des troubles gastriques... Rapidement, les analyses toxicologiques pointent vers un seul et même coupable : ostreopsis. Cette micro-algue tropicale toxique, invisible à l'œil nu, prolifère sur la côte basque et apporte avec elle son lot de complications. Car en effet, les composés chimiques qu’elle produit sont non seulement toxiques pour l’homme, mais aussi pour la faune et la flore marine.Voilà le sujet de la série réalisée en 2022 par Pablo Baquedano et dans laquelle le photoreporter vient mettre en image toute la complexité et l’étendue du défi posé par la présence de cette micro-algue. Comme il l’explique, le sujet cristallise à lui tout seul “toutes les problématiques actuelles en jeu dans la gestion de nos espaces côtiers : réchauffement climatique, assainissement et traitement des eaux, augmentation du volume des eaux de pluie, pollution chimique liée à l’industrie et à l’urbanisation, dérèglement des écosystèmes, insuffisance des moyens financiers, techniques et scientifiques, impacts néfastes de l’affluence touristique…”.Un projet rendu possible grâce au plan gouvernemental de soutien à la filière presseOstreopsis, Baignade Interdite, qui s’avère a posteri une véritable enquête sur le sujet - “ces images sont là pour rendre compte d’un ressenti, d’une sensation d’inquiétude et de malaise face à l’ampleur des différentes formes de pollution de nos côtes”, confie l’artiste - a été réalisée dans le cadre de la grande commande nationale “Radioscopie de la France : regards sur un pays traversé par la crise sanitaire”, destinée aux photojournalistes, financée par le Ministère de la Culture et confiée à la Bibliothèque nationale de France (BnF).Celles et ceux qui le souhaitent auront l’occasion de découvrir ce travail de recherche à l’occasion d’une exposition qui se tiendra du 2 novembre au 18 décembre 2023 au sein de la Gare Toulouse Matabiau. Une manifestation qui se déroule dans le cadre de l’édition 2023 de la Résidence 1+2, dont l’ambition - rappelons-le - est d’associer science et photographie. Pile dans l'objectif de Pablo Baquedano ! Où ? Gare de Toulouse Matabiau - 64 boulevard Pierre Semard, ToulouseQuand ? Du 2 novembre au 18 décembre 2023En savoir plus : https://www.1plus2.fr/2023/09/25/pablo_baquedano-ostreopsis_baignade_interdite

Epta - nous rencontrer
Etpa - Contactez-nous

Contact

Pour toute information, vous pouvez contacter nos équipes par téléphone, mail ou courrier.

ETPA TOULOUSE
50 route de Narbonne
31320 Auzeville-Tolosane
+33 (0)5 34 40 12 00
toulouse@etpa.com